Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/12/2008

La musique qui venait de la maison

ce petit conte, revu par un voisin, Paulo Coelho, pour vous souhaiter à tous de bonnes fêtes avant une année 2009 qui s'annonce très dure.

"Comme toujours la veille de Noël, le roi convia le Premier ministre à une promenade. Il lui plaisait de voir comment on décorait les rues. Mais pour éviter que les sujets ne fassent des dépenses exagérées pour lui être agréables, ils se déguisaient toujours en commerçants venus de lointains pays.

Ils marchèrent dans le centre, admirant les guirlandes lumineuses, les sapins, les bougies allumées sur les marches des maisons, les baraques où l’on vendait des cadeaux, les hommes, les femmes et les enfants qui se pressaient d’aller rejoindre leurs parents pour fêter cette nuit autour d’une table bien garnie.

Sur le chemin du retour, ils traversèrent le quartier le plus pauvre ; l’ambiance y était tout à fait différente. Pas question de lumières, de bougies, ni de l’odeur délicieuse de la nourriture bientôt servie. On ne voyait personne ou presque dans la rue, et comme il le faisait tous les ans, le roi fit observer au Premier ministre qu’il devrait être plus attentif aux pauvres de son royaume. Le ministre acquiesça de la tête, sachant que sous peu le sujet serait de nouveau oublié, enterré sous la bureaucratie quotidienne, l’approbation des budgets, les discussions avec des dignitaires étrangers.

Soudain, ils remarquèrent que d’une des maisons les plus pauvres venait le son d’une musique. L’habitation, de construction sommaire, avait plusieurs fentes entre ses planches pourries, leur permettant de voir ce qui se passait à l’intérieur. C’était une scène totalement absurde : un vieux dans une chaise roulante qui paraissait pleurer, une jeune fille complètement chauve qui dansait, et un garçon au regard triste qui tapait sur un tambourin et chantait une chanson du folklore populaire.

« Je vais voir ce qui se passe », dit le roi.

Il frappa à la porte. Le jeune garçon interrompit sa musique et vint répondre.

« Nous sommes des marchands et nous cherchons un endroit pour dormir. Nous avons entendu la musique, nous avons vu que vous n’étiez pas couchés et nous aimerions savoir si nous pouvons passer la nuit ici.

— Vous trouverez abri dans un hôtel de la ville, Messieurs. Malheureusement nous ne pouvons pas vous aider ; malgré la musique, cette maison est pleine de souffrance et de tristesse.

— Et pouvons-nous savoir pourquoi ?

— C’est ma faute – c’était le vieux dans la chaise roulante qui parlait. Toute ma vie, j’ai voulu éduquer mon fils pour qu’il apprenne la calligraphie et devienne un des scribes du palais. Mais les années passaient et les nouvelles inscriptions pour cette charge n’étaient jamais ouvertes. Et puis cette nuit, j’ai fait un rêve stupide : un ange apparaissait et il me demandait d’acheter une coupe en argent, parce que le roi allait me rendre visite, boire un peu dans cette coupe, et trouver un emploi pour mon fils.

« La présence de l’ange était si convaincante que j’ai décidé de faire ce qu’il avait dit. Comme nous n’avons pas d’argent, ma belle-fille est allée ce matin au marché, elle a vendu ses cheveux, et nous avons acheté la coupe qui est là devant vous. Maintenant ils essaient de me faire plaisir, ils chantent et ils dansent parce que c’est Noël, mais c’est inutile. »

Le roi vit la coupe en argent, se fit servir un peu d’eau parce qu’il avait soif et, avant de partir, déclara à la famille :

« Quelle coïncidence ! Nous étions aujourd’hui avec le Premier ministre et il nous a dit que les inscriptions pour un nouveau poste seraient ouvertes la semaine prochaine. »

Le vieux hocha la tête, ne croyant pas vraiment ce qu’il entendait, et prit congé des étrangers. Mais le lendemain, une proclamation royale fut lue dans toutes les rues de la ville : on cherchait un nouveau scribe pour la cour. Le jour fixé, la salle des audiences était pleine de gens désireux de concourir pour le poste tant convoité. Le Premier ministre entra, demanda à tous de préparer leurs blocs et leurs porte-plume :

« Voici le sujet de dissertation : pourquoi un vieil homme pleure-t-il près d’une femme chauve qui danse et d’un garçon triste qui chante ? »

Un murmure d’étonnement parcourut la salle : personne ne savait raconter une histoire comme celle-là ! Excepté un jeune garçon vêtu humblement, dans un coin de la salle, qui fit un large sourire et commença à écrire.

(basé sur un conte indien)

 

19/12/2008

Oui au repos du dimanche

Protégeons le Repos Dominical

15/12/2008

Déchets ménagers : la responsabilité des élus

Les Verts des Hautes-Pyrénées

BP 842

65 008 Tarbes cedex

courriel : lesverts65@orange.fr

tél : 06 07 79 92 56

blog : http://lesverts65.over-blog.com

 

Les Verts-65 regrettent que la voix de leurs élus n'ait pas été écoutée par les élus majoritaires. Cela fait 10 ans qu'Arlette DUBALEN alertait ses collègues sur la nécessité de choisir un site de stockage des déchets ultimes. En vain.

Aujourd'hui, la présidente du Conseil Général s'avise que « nous sommes pris de vitesse par le tonnage des déchets que l'on stocke ». Et, encore une fois, une solution doit être improvisée dans l'urgence. Alors que les résistances politiques et partisanes - au regroupement des syndicats mixtes, intercommunaux, voire de communes en un seul syndicat départemental pour le traitement des déchets – ont alimenté le retard.

Or le choix d'un site ne peut s'arrêter au seul critère de son acceptation politique par les élus locaux. C'est ce qui explique d'ailleurs les déboires de Poueyferré et de Bénac, dont les caractéristiques géologiques et hydrologiques ne conviennent pas à ce type d'implantation. En choisissant des sites non conformes, on ne fait qu'alimenter la méfiance à l'encontre de ce type d'installation et décourager les candidatures éventuelles.

Un cahier des charges strict et transparent permettrait d'aborder ce dossier publiquement et sous un autre jour.

Par ailleurs, la proposition du maire d'Odos de délocaliser nos déchets pour les incinérer ailleurs est indécente. Elle a pour conséquence d’allonger les transports, de polluer les autres...et d'encourager à l’augmentation de nos déchets pour alimenter l'incinérateur !

Alors qu'une partie majeure de la solution durable est dans la réduction des déchets à la source (notamment en remplaçant la taxe forfaitaire par une redevance au volume de déchets produit ) et dans le renforcement du tri sélectif en séparant « déchets verts » (fermentescibles) recyclables et déchets inertes qui seraient seuls stockés.

11/12/2008

réflexions sur la place de désirs d'avenir par J.P Mignard

Bonsoir à tous,

 

Je constate que DA a repris de l’importance dans les esprits depuis l’issue du Congres. .

Beaucoup de membres du parti qui étaient à DA sont dorénavant cadres locaux ou fédéraux voire nationaux, ce qu’ils n’étaient pas. Ils sont ou seront intégrés dans la vie de la motion.

Un nouveau DA est sorti du Congres. De nouveaux membres nous ont rejoints.

 

DA n’est pas devenu pour autant la motion à lui tout seul ni le courant qui commence seulement à débattre de son organisation.

 

Si DA n’est qu’une partie de la motion même si ce sont ses membres qui constituent une des forces militantes et humaines capitale au sein de la motion.

 

Quelle est la spécificité de DA ?: faire vivre concrètement les thématiques du projet porté par Ségolène et les illustrer pratiquement dans les formes de débat, d’organisation ou de mobilisation.

Dans le parti et hors le parti puisque nous sommes une association ayant une personnalité morale propre. Le droit répond aux questions que certains se posent. Disposons-nous d’une autonomie juridique indépendante du PS ? La réponse est oui sans hésiter. Sommes-nous un parti politique ? La réponse est non sans hésiter. Nous avons même renoncé à ce régime financier qui était le nôtre lors du lancement de la contribution.

 

Nous sommes un mouvement. Démocratique et populaire.

 

A ceux qui auraient des vapeurs du fait de notre existence vous rappellerez qu’il ya TOUJOURS eu au sein du mouvement socialiste des partis et des clubs, mouvements associés, liés à telle ou telle sensibilité du parti.

Pour situer ce nouveau DA nous allons organiser et rationaliser notre réflexion. Ce nouveau DA sera un mouvement d’idées, de réflexions et de projets. Il accueillera le plus possible de personnes voulant agir en politique. Il facilitera l’adhésion au PS de celles et ceux qui hésitent .Il multipliera les contacts par centaines de milliers dans le pays. Nous ne devons avoir aucun complexe à ce sujet et il serait quand même stupéfiant que l’on nous le reproche.

Je vous propose d’ores et déjà de vous relier en coordinations régionales DA. Des projets peuvent être portés à ce niveau et dans tous les cas la représentation se fera à ce niveau.

Le COPIL ou conseil d’orientation et de pilotage pourrait être constitué de 30à 40 membres dont plus de 20 représentant les collectifs régionaux. Outre le secrétariat de Da des élus, des personnalités diverses le complèteraient.

DA doit aussi agir sur les situations. Il s’agit d’un mouvement de militants. Ségolène insiste beaucoup sur ce point et elle a raison.

 

Sur le plan de la proposition des conventions thématiques peuvent être envisagées. : Fonder une puissance publique dans la zone Euro , Crise alimentaire dans le monde et politique agricole européenne (avec la question des OGM), la croissance verte contre la récession, le progrès social est compétitif, toutes ces idées ont été évoquées, il y en a d’autres. A vos claviers. A vos débats participatifs.

 

Dans tous les cas on ne s’intéressera à nos travaux que s’ils rompent avec la logomachie et le rituel. Face à la banqueroute morale du système financier il faudra sortir des sentiers battus.

On ne fera pas la révolution soviétique. Le marché sera toujours là, demain et après demain. C'est-à-dire aussi la dette, une planète encore plus menacée, et un monde encore plus appauvri. Les révoltes se lèveront, de Pékin à Athènes. Leur issue démocratique représente un enjeu historique crucial.

 

Alors quelle société, quel marché et quel Etat ? Pour que type de projet humain et pour quelle place de la personne ?

Comment se protéger, et notamment les salariés et les plus faibles, des chocs d’une économie bousculée ? Comment interdire aux docteurs Folamour du marché fou de reprendre pied et quelle société de croissance et de richesses voulons nous à l’heure du réchauffement climatique ?

 

C’est autour de ces questions que se jouera la reconstruction socialiste.

Car il faudra reconstruire ce que le sectarisme a défait. Et on ne bâtit rien, mais vraiment rien sur l’élimination des autres. Ceux qui l’ont cru, les demi habiles comme les appelait Pascal, l’apprendront à leurs dépens. Il est toujours possible de reprendre ses esprits. DA devra à ce propos être un modèle de pédagogie et d’éthique.

Les jours ouvrables qui restent de décembre, le mois de janvier seront les moments de notre remise en marche. Illustrons au sein de notre mouvement le parti socialiste que nous voulons, préfigurons-le. C’est le meilleur moyen de rendre service au PS. Et de le changer, pour de bon.

 

Amicalement à tous,

JP Mignard.

 

( publié avec l'autorisation de J.P Mignard)

- DA= désirs d'avenir

10/12/2008

Une frange d'enseignants opte pour la désobéissance

La "désobéissance civile", façon insoumission, gagne les rangs de l'éducation nationale. Bastien Cazals, directeur de l'école maternelle Louise-Michel de Saint-Jean de Védas, près de Montpellier (Hérault) fait partie de ces nouveaux "objecteurs" de réforme. Et vient d'être informé mardi 9 décembre par sa hiérarchie qu'il était sanctionné d'un retrait de cinq jours de salaire pour n'avoir pas mis en oeuvre dans son école l'aide personnalisée, issue de la réforme de l'école primaire.
 
M. Cazals avait écrit le 25 novembre une lettre ouverte au président de la République pour lui dire à la fois sa "colère" et sa décision de devenir "un fonctionnaire désobéissant". "Je ne peux plus me taire. Je me dois de réagir", explique-t-il dans cette lettre, non sans insister sur son "profond attachement"envers la République française.

De son désaccord avec les décisions du ministre de l'éducation, Xavier Darcos, sur l'école primaire, M. Cazals conclut que "l'État ne pourra plus garantir à chaque citoyen les mêmes droits en terme d'éducation", qu'il s'agit là "du déni d'un droit fondamental" et qu'il est donc de son devoir de citoyen "d'entrer en résistance".

En conséquence, il prévient qu'il n'appliquera ni les nouveaux programmes, ni les autres dispositions prises par le ministre. Il veut ainsi "participer à l'émergence d'une résistance citoyenne et non-violente, porteuse d'un projet de société généreux et ambitieux". Ce directeur d'école n'est pas seul. Un "collectif des enseignants en résistance" souhaite "amplifier la désobéissance pédagogique dans les écoles" et appelle les enseignants "à ne plus mettre en oeuvre le dispositif de l'aide personnalisée et à le faire savoir à leur hiérarchie". Ils s'exposent ainsi à être eux aussi sanctionnés pour "service non rendu".

"JE REFUSE D'OBÉIR"

Alain Refalo, professeur des écoles à Colomiers (Haute-Garonne), et "militant de la non-violence" a précédé Bastien Cazals dans la désobéissance. Auteur d'une lettre intitulée "En conscience, je refuse d'obéir" adressée à son inspecteur et largement médiatisée, M. Refalo n'a pas jusqu'à présent été sanctionné, mais il en "assume le risque".

Sur le blog "Résistance pédagogique pour l'avenir de l'école", abondent les prises de position, les articles, les liens avec les sites amis, les messages de sympathie et les annonces de nouvelles initiatives. Parallèlement, un "appel des maîtres des écoles primaires" pour la démission de Xavier Darcos vient d'être lancé.

Bien que minoritaire, une mouvance est en train de s'agréger. Le ministère de l'éducation y voit la main de "l'ultra gauche". Au risque de sous estimer le rejet qu'il inspire auprès d'une partie grandissante des enseignants du primaire.

Cette nouvelle forme de protestation est aussi l'une des conséquences des multiples déclarations qui, du côté du pouvoir politique, marquent l'indifférence ou le mépris envers les formes traditionnelles d'action syndicale. "Le gouvernement affiche ouvertement qu'il est prêt à affronter des mouvements de grève massifs", relève M. Refalo.

"Je pense que seule l'action radicale peut avoir aujourd'hui un sens qui ne sera ni brouillé par les médias, ni manipulé par les appareils", écrit une maîtresse d'école à ses collègues sur une liste Internet, où elle rêve de "plantages informatiques" massifs. "Assez des grèves qui font ricaner les ministres !", lui répond une collègue.

www.lemonde.fr/societe/article/2008/12/10/une-frange-d-enseignants-opte-pour-la-desobeissance_1129196_3224.html
 
 
QUE VONT FAIRE LES SYNDICATS ENSEIGNANTS DU 65 qui, alors qu'on les interpellait sur cette question de désobéissance, répondaient, en particulier un, qu'ils n'étaient pas pour que les gens deviennent des martyrs et qu'ils ne soutenaient pas cette forme d'action.
aujourd'hui se sont tenues des tables rondes sur les problèmes multiples qui se posent dans l'enseignement.
j'en parlerai plus tard...

 

09/12/2008

Sur RTL, Ségolène Royal tend à nouveau la main à Martine Aubry

La présidente socialiste de Poitou-Charentes répondait mardi matin aux questions de Jean-Michel Aphatie. A la question des rapports qu'elle entretient aujourd'hui avec Martine Aubry, son ex-adversaire lors de la désignation du premier secrétaire du PS, elle a répondu : "La France n'a jamais autant eu besoin de la Gauche et d'un Parti socialiste rassemblé qu'aujourd'hui... Et la Gauche n'a jamais parue aussi absente et même aussi divisée qu'aujourd'hui. C'est la faute à tout le monde. Y compris la mienne. [...] La réconciliation est aujourd'hui nécessaire. J'ai fait avec Martine ce que j'aurai voulu qu'elle fasse si j'avais été dans sa situation. [...] Je suis allée la voir, lors du Congrès (de Reims, Ndlr) et je lui ai dis que les Français ont besoin d'unité des socialistes et aujourd'hui nous devons nous réconcilier, travailler ensemble".

Source ici de la vidéo de l'entretien:

Ségolène Royal invitée de RTL (09/12/08)

07/12/2008

Peillon: "La porte du PS nous est fermée"

Vincent Peillon, pas franchement satisfait de la situation au PS. (Maxppp)

Quel bilan tirez-vous du premier conseil national de Martine Aubry?
Nous avons un parti inquiet et divisé qui, depuis le congrès de Reims, attend que sa direction se ressaisisse. Hier, Martine Aubry a raté les deux objectifs qui auraient pu donner le signe d'un nouveau départ. Les militants voulaient la clarté et le rassemblement. Ils n'ont eu ni l'un, ni l'autre.

Martine Aubry affirme vous avoir ouvert la porte. Pourquoi rester en dehors de la direction du parti?

C'est totalement inexact. Avec Ségolène Royal, j'ai rencontré deux fois Martine Aubry, mercredi et samedi derniers, et, à aucun moment, elle n'a avancé d'offre concrète. Jean-Noël Guérini lui a fait des propositions politiques et lui a suggéré une répartition des personnalités de notre courant. Pas de réponse. Vendredi matin, Ségolène Royal a fait l'effort d'appeler Martine Aubry et lui a dit qu'elle était prête à accepter un poste secondaire pour ne pas faire de sa personne une entrave au rassemblement. Martine Aubry a repoussé cette solution tout comme ma candidature. La volonté était clairement de nous exclure de la direction du Parti socialiste. La porte est bien fermée.

Dans votre camp, Delphine Batho, Aurélie Filippetti, Guillaume Garraud n'ont-ils pas refusé des secrétariats nationaux?
Débauchage ou intox? Tout cela n'est pas brillant. La motion que défend notre équipe a recueilli 30% des voix du parti et on lui offre trois secrétariats thématiques, soit le tiers de ceux accordés aux amis de Benoît Hamon dont la motion n'a obtenu que 18% des suffrages. On veut faire croire que nous sommes minoritaires dans ce parti mais c'est faux. La majorité que l'on nous oppose
est disparate et divisée. Quelle ligne politique commune entre Henri Emmanuelli, Michel Rocard, Laurent Fabius, Bertrand Delanoë et même Martine Aubry? Le premier est contre la prime à l'emploi, les autres pour. L'un est pour le protectionnisme, l'autre contre. L'un voulait qu'on fasse l'accord avec le Modem dès le premier tour de la présidentielle, les autres jamais! D'où un texte sans aucun relief.

Samedi, avec vos amis, vous avez multiplié les incidents. Ce n'est qu'un début?
On a voulu nous interdire de parole et museler le débat sur un texte qui nous engagerait pour trois ans, sans vote des militants. Bref, refaire le congrès après le congrès! Nous ne nous sommes pas laissé faire. Et il y avait matière à discussion puisque le texte de Martine Aubry n'a recueilli que 146 voix sur 306. C'est le plus faible résultat de l'histoire. Nous allons nous mettre au service du parti sur le terrain. Je pense qu'il a besoin de nous pour constituer une force d'opposition au sarkozysme. Le nouveau conseil compte 60% de nouveaux entrants et 50% de femmes.

Reconnaissez-vous cet effort de renouvellement?
Jean-Christophe Cambadélis, Claude Bartolone, Michel Sapin, Elisabeth Guigou, Marilyse Lebranchu sont des gens de qualité mais ne me paraissent pas incarner le renouvellement. Quand aux "vrais jeunes", ce sont tous d'anciens présidents de l'Unef-ID (syndicat étudiant) et des MJS (Mouvement des jeunes socialistes). Je vois ça plutôt comme un repli que comme une ouverture sur la société réelle, bref une occasion ratée.

www.lejdd.fr/cmc/politique/200849/peillon-la-porte-du-ps-...

 

05/12/2008

Texte d'orientations politiques PS 2008-2011

le 5 décembre 2008 17h21 | par
Marcelo Wesfreid

Martine Aubry soumettra demain matin ce texte d'orientations politiques pour 2008-2011 au conseil national. Sa déclaration de politique générale, en quelque sorte. Le document a été élaboré après de longues discussions avec les amis de Benoît Hamon et de Bertrand Delanoë. Il a été envoyé à Ségolène Royal vers midi. Soit plusieurs jours après les autres.

Tout un symbole. Aubry feint de laisser la porte ouverte à Ségolène Royal (qui avait demandé à participer à la direction, en s'occupant de la FNSER, la fédération des élus). Mais la maire de Lille avance des propositions qu'elle sait impossibles à accepter par sa rivale. Exemple : "Nous n'admettrons pas de voir notre parti se transformer progressivement en un parti au service d'une candidature". Ou encore : "Nous refusons toute alliance avec le Modem", écrit celle qui en a passé... un à Lille en mars dernier pour les municipales).

La crise en vrai

Ségolène Royal à Florange ( vidéo à 2.37 )

http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=b54a_1920

Merci à Dina :) D A

 

Carte des suppressions d'emplois en France (vidéo)

Découvrez la carte des suppressions d'emplois annoncées depuis septembre 2008 en France.
Carte des suppressions de postes en France
Cette carte a été créée par un utilisateurs de Google Map qui marque par un logo d'un secteur d'activité la carte de France.

http://eco.rue89.com/2008/11/19/avec-vous-eco89-tient-a-j...

10:49 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (1)

04/12/2008

la pensée du jour

Il n’est aucune histoire si terrible, aucun accident du sort… dont la nature humaine, par patience ne puisse venir à bout.

Euripide

02/12/2008

Les Vingt-Sept s'accordent sur la réduction de la pollution automobile

Les Européens ont mis fin, lundi 1er décembre, à plusieurs mois de tractations entre défenseurs de l'environnement et constructeurs automobiles, en s'accordant sur l'obligation pour les constructeurs de réduire les émissions de CO2 de leurs voitures neuves à partir de 2012, avec des pénalités pour les contrevenants.

Selon les termes du compromis trouvé entre les Etats membres de l'UE, le Parlement européen et la Commission, les constructeurs automobiles européens devront réduire de 18 % les émissions de CO2 des véhicules neufs d'ici à 2015, soit des émissions de dioxyde de carbone ramenées à 130 grammes par kilomètre. Le texte prévoit une réduction par étapes à partir de 2012. A l'origine, la Commission proposait que cette réduction de 18 % soit atteinte dès 2012, ce qui avait été très contesté par le secteur et par certains pays, l'Allemagne en tête.

Des pénalités progressives sont prévues en cas de dépassement. L'accord doit encore être adopté formellement, et soumis aux eurodéputés, mais toute modification est désormais improbable.



une goutte d'eau qui ne changera pas grand chose.