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28/03/2007

Ségolène Royal se voit comme "la vraie candidate de l'écologie"


  Ségolène Royal s'est présentée mardi soir comme "la vraie candidate de l'écologie", assurant être la seule à intégrer l'environnement à tous les étages de son projet présidentiel, au terme d'une rencontre avec sept associations de défense de l'environnement et le père du "pacte écologique" Nicolas Hulot.

"Je leur ai dit en partant: la vraie candidate de l'écologie, c'est celle qui est devant vous", a fait valoir la candidate socialiste au terme de cette rencontre d'une heure avec Nicolas Hulot et sept ONG dont Greenpeace, WWF France, les Amis de la Terre et France Nature Environnement, au siège de la Fondation Hulot à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine).

Interrogée sur la candidate des Verts Dominique Voynet, Ségolène Royal a répondu être la seule à intégrer la dimension environnementale à tous les étages de son projet. "Dans tous les éléments du pacte présidentiel, il y a toujours le pilier environnemental", a-t-elle dit.

"Il y a eu pas mal de points de convergence", a reconnu Nicolas Hulot, "c'était une très bonne réunion de travail". "La campagne présidentielle est un instant providentiel pour se poser les bonnes questions et tenter de commencer à faire émerger des éléments de réponse", a estimé l'auteur du "pacte écologique", sans toutefois se prononcer sur un éventuel soutien.

Ségolène Royal a par ailleurs renouvelé son "engagement" de "reconnaître les associations environnementales comme partenaires du service public à part entière". "C'est la mise en place de la démocratie participative dans le domaine de l'environnement", a-t-elle dit.

La semaine dernière, devant la presse, elle avait déjà estimé qu'on "ne peut pas mettre tous les candidats dans la même situation", en comparant son bilan avec ceux de Nicolas Sarkozy et François Bayrou sur l'environnement. "Il faut aussi que les électeurs jugent les candidats sur leurs actes". "J'assume totalement l'exigence écologique", "j'ai fait mes preuves" au ministère de l'Environnement et "je fais mes preuves en Poitou-Charentes", avait-elle dit.

Or, Nicolas Sarkozy "n'a pas fait grand-chose dans son département" des Hauts-de-Seine et "il n'y a pas une seule action environnementale dont (François Bayrou) peut se prévaloir", avait-elle souligné. AP

 

27/03/2007

Ségolène comme vous ne l'avez jamais vue!

http://www.dailymotion.com/video/x1jnze_segolene-royal-a-...

 

un grand moment de convivialité.

 quelle chance! 

Ségolène Royal veut "retrouver le souffle culturel du 10 mai 1981"


"C'est possible, c'est une des missions indispensables de la France qui a reculé dans sa culture"
"Les artistes sont ingérables"
 
"Je veillerai à ce que l'Etat donne à la culture les moyens de créer et de diffuser sur tout le territoire" car "si les replis (sur soi) continuent, ce sera très difficile de remonter la pente", a-t-elle assuré.

"Les artistes sont ingérables, ils peuvent être dangereux, ils sont dérangeants", a déclaré Jeanne Moreau, venue avec une quarantaine d'artistes dont les musiciens du groupe sénégalais Touré Kunda, le violoniste Didier Lockwood, les écrivains Erik Orsenna et Philippe Besson, la chanteuse Juliette ou le directeur du cabaret Les trois maillets Jacques Boni.
"Aujourd'hui, certains sont vachement dérangés qu'une femme puisse être présidente de la République", a-t-elle ajouté sous les applaudissements du public.
 
Répression policière
 
Le directeur d'une scène rock de Nantes, Eric Boistard, a vivement dénoncé la "répression policière contre les musiques, les procès de Sarkozy contre les rappeurs, les commissions rogatoires contre des festivals ou les musiques du monde touchées par le refus de visas".
"Une femme présidente, ce serait révolutionnaire, et la culture et l'esprit de révolution, cela va bien ensemble", a déclaré l'écrivain Philippe Besson tandis qu'Erik Orsenna plaidait pour les langues régionales.
Les Touré Kunda ont fait chanter la salle en langue wolof après avoir lancé un vibrant appel à voter Ségolène Royal. "Il ne faut pas que les jeunes qui ont l'âge de nos fils se trompent de choix", lançait un des deux musiciens.

 Dix propositions
 
Citant Victor Hugo, Sartre, Samuel Beckett mais aussi Ariane Mnouchkine, Ségolène Royal a appelé tous les participants à se retrouver en première ligne pour "ce combat majeur" en faveur de la culture.
"La culture est exceptionnelle, elle tient du miracle dans un monde obnubilé par la course à la rentabilité immédiate", a-t-elle insisté avant de décliner les dix propositions de son pacte présidentiel en matière culturelle.
Elle a notamment développé longuement le réintroduction de l'histoire des arts à l'école et rendu hommage aux intermittents du spectacle: "je veux que vous retrouviez votre dignité", leur a-t-elle lancé. (AFP)
(nouvel observateur, 27 mars) 
 

Ségolène Royal accuse la police de "rafler" des sans-papiers devant les écoles

Ségolène Royal accuse la police de "rafler" des sans-papiers devant les écoles

 
Ségolène Royal a salué mardi "le courage des parents, des enseignants" d'une école parisienne qui se sont opposés la semaine dernière aux forces de l'ordre, qu'elle a accusées de "rafler des parents ou des grands-parents devant les écoles".

"Je voudrais saluer le courage des parents, des enseignants, qui se sont dressés contre cette façon de faire qui ne fait pas honneur à la France", a déclaré la candidate socialiste sur LCI. "C'est vrai qu'aller rafler des parents ou des grands-parents devant les écoles, devant les yeux des enfants, ce n'est pas à ça que la France veut ressembler. En tout cas, ça ne sera pas ma façon de faire".

A propos des régularisations de parents sans-papiers d'enfants scolarisés, Ségolène Royal a réaffirmé qu'"il faudra des critères objectifs, il faudra bien sûr, aussi du cas par cas". "Mais surtout", a-t-elle souligné, "les enfants qui sont scolarisés depuis plusieurs années dans l'école de la République devront être tranquilles pour réussir leurs études". AP

( nouvel observateur 27 mars) 

24/03/2007

Sarkozy, cible favorite de Royal dans "Maintenant"

AP | 24.03.2007 |

  De sa "boulimie" de pouvoir à sa "provocation langagière", en passant par son "échec" sur la sécurité, tout chez Nicolas Sarkozy irrite Ségolène Royal, qui fait du candidat de l'UMP son premier adversaire et des critiques sur son bilan et propositions un fil rouge de son livre d'entretiens "Maintenant", à paraître mardi. 

 

 Florilège:

- cumul: "il est scandaleux que celui qui est candidat soit aussi le ministre de l'Intérieur chargé d'organiser les élections et reste aussi longtemps à ce poste. On connaît les raisons de ce mélange des genres: les pressions, les moyens, les subventions aux collectivités locales, le budget colossal des sondages, les renseignements généraux", accuse-t-elle. "Je trouve cette boulimie et cette volonté de tout contrôler inquiétantes pour la France".

- double peine: "M. Sarkozy a prétendu, en 2003, avoir aboli la double peine. Ce n'est pas exact". Lors de la crise des banlieues, "le ministre de l'Intérieur a réclamé à grand bruit l'expulsion de jeunes arrêtés par la police et déférés à la justice, autrement dit l'application de la double peine à des jeunes... Français pour la plupart!", souligne-t-elle.

- GDF: elle "s'interroge sur la valeur de la parole du candidat de l'UMP qui était venu solennellement promettre au Parlement, au nom du gouvernement, que jamais la participation de l'Etat ne descendrait au-dessous de 70%".

- immigration: la phrase "la France, on l'aime ou on la quitte" prononcée par Nicolas Sarkozy en 2006 "a été introduite en France par M. Le Pen. Cela se passe de commentaires". Quant aux textes sur l'immigration qu'il a fait voter, "la France n'a pas besoin de lois d'affichage qui fragilisent inutilement des familles et créent des situations humaines inextricables".

- programme: le candidat UMP propose "la suppression du droit de grève et un contrat unique précaire", "le chômage de masse, la course aux heures supplémentaires et la retraite à 70 ans". "Son contrat unique, c'est le CPE pour tous les salariés".

- racaille: "la République du respect passe aussi par les mots", tance-t-elle, déplorant une "provocation langagière".

- scooter: "l'histoire du scooter du fils de M. Sarkozy m'a vraiment énervée". "Pour mon fils, l'enquête était complètement normale puisqu'il y avait coups et blessures", assure-t-elle. "J'imagine que, pour lui, dans une campagne, tout est permis".

- sécurité: "l'échec de la droite en matière de sécurité et de protection des personnes est patent".

- violences conjugales: elle se dit "très choquée qu'abordant la question des violences faites aux femmes, le candidat de l'UMP ne cite comme exemples que les mariages forcés, l'excision, la polygamie et le port imposé du voile". AP

 

23/03/2007

Ségolène Royal à Marseille

Le message universel de la France à travers le monde est plus que jamais d’actualité : la liberté, l’égalité et la fraternité.

 

Ségolène Royal était en meeting à Marseille, jeudi soir, devant quelque 8.000 personnes. Plusieurs personnalités régionales étaient présentes : Michel Vauzelle, président du Conseil régional, Jean-Noël Guérini, président du Conseil général, son directeur de campagne Jean-Louis Bianco mais aussi Edmonde Charles-Roux, la veuve de Gaston Defferre.

"Dans le débat national qui est aujourd’hui dans la dernière ligne droite, c’est un moment historique important, ce soir, fortement symbolique, puisque jour pour jour, du 22 mars au 22 avril, la France va choisir son destin.

Je voudrais d’abord vous dire que je ne veux pas que le 22 avril ressemble au 21 avril. Et pourtant, j’ai senti, pendant ces longues semaines, ces longs mois, de débats participatifs, j’ai senti gronder la colère des Français, j’ai senti que le doute à l’égard de la politique ne s’était pas apaisé. J’ai senti qu’il y avait encore des millions de citoyens qui pensaient ne compter pour rien, qui ne savent pas de quoi demain sera fait, qui s’imaginent encore que la politique n’est qu’une suite de promesses non tenues.

Et c’est pourquoi cette dernière étape est si importante. Et c’est pourquoi ce soir, je veux vous parler avec gravité, parce que vous avez une responsabilité éminente : c’est vous, dans cette salle, vous qui êtes convaincus que la France ne doit pas se tromper dans quelques semaines, c’est vous qui avez la responsabilité d’aller convaincre toutes celles et tous ceux qui attendent désespérément quelque chose qui ne vient pas, toutes celles et tous ceux qui ont désespérément aussi envie de croire à nouveau dans l’efficacité de la politique.

C’est pourquoi, dans cette dernière ligne droite, ce qui est important maintenant, c’est que les choix soient clairs.

 lire la suite ici

 Ségolène Royal - Discours du Dome de Marseille - kewego


Ségolène Royal : discours du meeting de Marseille
Le 22 mars 2007

Video de segolene-tv

22/03/2007

paroles de femmes

Madeleine Chapsal Ecrivain
Ségolène évoque Jeanne d’Arc, sainte Geneviève, les héroïnes salvatrices qui ont su mettre en fuite les « dragons » (ce qu’elle a commencé dans son propre parti…). Image d’une féminité acceptée et fièrement revendiquée : du coup, les autres candidats apparaissent comme machos, vieux, usés.

 

21/03/2007

un an avec S.Royal

   Voilà plus d’un an que S.Royal a entrepris sa longue marche vers la présidentielle.

   Au départ, ce ne fut qu’une éventualité, puis au fil des jours, des rencontres, des messages, cela s’est précisé jusqu’à sa candidature en septembre 2006.

 

Il y eut beaucoup de critiques, de mots violents, de coups tordus à son égard :« ce fut une campagne interne très difficile, une épreuve terrible » S.Royal (sur m6, le 11 mars)

Campagne qui a laissé des traces pendant des jours, voire même des mois après le vote d’investiture et quand je vois actuellement D.S.K ou L.Fabius défendre S.Royal, je ne peux m’empêcher de superposer les 2 images : avant et après l’investiture : cela pèse encore, peut-être plus pour moi que, je l’espère, pour l’électeur de base.

Au P.S d’en tirer les conclusions : par exemple, ne pas recommencer cette expérience mais faire comme les Italiens.

 

Actuellement, la campagne présidentielle est pleine de suspens et c’est très bien pour tout le monde : le citoyen sait que rien n’est décidé et qu’il a un rôle à jouer, les militants doivent se battre pour gagner chaque voix et les candidats doivent donner le meilleur d’eux-mêmes.

 

Pour les simples militants de base comme nous, nouveaux dans un parti politique, c’est toujours la participation à une grande aventure, aventure ponctuée de moments intenses à chaque meeting de S.Royal.

C’est la découverte de la vie politique locale avec ses bons et mauvais côtés dans ce petit département où tout le monde se connaît !

Nous rencontrons aussi dans les congrès, les meetings, les sections,de formidables personnes, socialistes ou non, humaines, chaleureuses.

Bien sûr, d’autres personnes ne cherchent qu’à nous critiquer, nous militants de la première heure de désirs d’avenir, mais laissons-les à leur occupation favorite et pensons à S.Royal : elle a vu pire ! mais elle espère que ça change :

"La femme est un animal politique comme un homme, dans un milieu brutal. Je revendique de faire de la politique autrement à l'abri de cette brutalité".
  (S.Royal, meeting de dijon le 7/03/2007 pour la journée internationale des femmes)

 

Désirs d’avenir, c’est un esprit de liberté , de respect, d’écoute.

C’est sans doute une utopie mais nous avons tous besoin d’utopie pour continuer à bien vivre ici bas.

 

CONTINUONS ENSEMBLE L’AVENTURE VERS UN LENDEMAIN MEILLEUR POUR TOUS.

 

                 AVEC SEGOLENE ROYAL JUSQU’AU BOUT.

 

(par Martine, une militante de base qui refuse de se prendre la tête)

19/03/2007

les phrases du jour

MEETING du 18 mars à Paris:

- Ségolène Royal  aux élus PS: "Je sais ce que je vous dois, je sais ce que je dois à mon parti, je sais ce que je dois aux militants"

- S.Royal: "C'est à nous, c'est à moi, de mériter avec vous chaque voix qui va venir dans l'urne".

- Dominique Strauss-Kahn : "François Bayrou est une illusion, Nicolas Sarkozy est une inquiétude et Ségolène Royal porte le changement".

Ségolène a repris sa liberté


Ségolène a repris sa liberté

IL FALLAITqu’elle reprenne les choses en main et, hier soir, elle a réussi. Plutôt brillamment. Si nécessaire, elle a montré son caractère et qu’elle avait, comme on dit, la stature. "La ligne c'est moi qui la trace". Dès hier matin, Ségolène Royal avait remis les choses au point après une polémique à l’intérieur du Parti Socialiste, qui risquait de menacer son autorité. En une émission, elle a réussi à faire oublier les petites manœuvres des éléphants socialistes en prenant de la hauteur. Pas de langue de bois. Pas d’attitude doctrinaire. Même sur la vogue favorable à François Bayrou qu’elle ne voue pas aux gémonies, comprenant l’attitude de ces Français qui, devant l’enjeu,"cherchent, regardent, observent, écoutent" et ne "veulent pas se laisser avoir une nouvelle fois", après "tant de promesses faites et non tenues".

Elle n’a pas le moindre doute sur l’issue : "Tout dépend de moi". Interrogée sur l’éventualité de négociations avec le candidat de l’UDF, elle a ce cri du cœur : "Il n'y aura aucune négociation, je n'en ai même pas eu au sein du Parti socialiste, des négociations", alors je ne vais pas négocier avec un candidat qu’elle exécutée en soulignant que "pour l’instant il n’a pas de programme". Son programme, elle l’attend. " "Nous en débattrons. Les Français choisiront. Je suis confiante. A un moment, il va y avoir l'heure de vérité."

Elle, elle a en un de programme. Clairement de gauche et très différent de celui de celui de Sarkozy "qui prolonge ce qui vient de se faire pendant cinq ans". On a pu alors retrouver la candidate qui, il y a quelques mois, faisait preuve de nouveauté, lorsqu’elle n’était pas encore "coincée", comme elle l’a reconnue, par le poids du parti socialiste.

On a retrouvé la candidate qui, sur les 35 heures, ne veut pas les imposer "unilatéralement". On a surtout retrouvé une candidate comme brusquement libérée d’un carcan et reprenant, sur tous les sujets, son assurance et son cap. Alors qu’au même moment François Bayrou fait une campagne sur des postures plus que sur des propositions et que Nicolas Sarkozy, lui, ne cesse de zigzaguer, tirant le matin des traites sur l’électorat de Le Pen, citant Jaurès et Blum au goûter, et Margaret Thatcher au dîner. JMB

 

l'éternité d'Arthur RIMBAUD

 
 
 
 

Avant de tenir son grand meeting à Charleville Mézières, Ségolène Royal a visité la maison d’Arthur Rimbaud, où le poète est né en 1854.Elle a choisi de partager avec vous le poème l’Eternité :

 


Elle est retrouvée.

Quoi ? - L'Eternité.

C'est la mer allée

Avec le soleil.



Ame sentinelle,

Murmurons l'aveu

De la nuit si nulle

Et du jour en feu.



Des humains suffrages,

Des communs élans

Là tu te dégages

Et voles selon.



Puisque de vous seules,

Braises de satin,

Le Devoir s'exhale

Sans qu'on dise : enfin.



Là pas d'espérance,

Nul orietur.

Science avec patience,

Le supplice est sûr.



Elle est retrouvée.

Quoi ? - L'Eternité.

C'est la mer allée

Avec le soleil.

 

la VI république

Pour la première fois, Ségolène Royal évoque une "VIe République" LEMONDE.FR

 

Ségolène Royal a présenté, dimanche 18 mars, à Paris la réforme des institutions prévues dans son pacte présidentiel comme la naissance d'une VIe République, un terme qu'elle utilisait pour la première fois de façon aussi explicite.

Dans un discours prononcé devant quelque 4 000 élus socialistes réunis porte de Versailles, la candidate PS a promis "une république nouvelle, dont vous (les élus) êtes les acteurs à l'avant-garde", grâce à "un referendum refondateur de la république, ancrée sur ses traditions et en même temps tournée vers le futur".

"Ce sera notre VIe République, c'est celle-là (...) que nous construirons ensemble. Cette VIe République est prête, elle s'appuie sur le travail" des présidents des groupes parlementaires Jean-Marc Ayrault et Jean-Pierre Bel, a ajouté Ségolène Royal. 

 Cette République nouvelle reposera, selon elle, sur "quatre piliers : une démocratie parlementaire revivifiée qui va mettre fin au cumul des mandats, une démocratie sociale qui va faire faire à la France un bond vers le futur en modernisant le dialogue social", la garantie des "solidarités de base" avec "le maintien des services publics sur tout le territoire", enfin "la democratie territoriale".

 C'est la première fois que Ségolène Royal utilise aussi explicitement le terme de "VIe République" pour décrire ces changements institutionnels, déjà présents dans son Pacte présidentiel. "Tournons-nous vers (les Français). Donnons-leur confiance. Méritons-les. Mettons la vérité en bataille pour faire gagner la France. Vive la République! Vive la France!", a lancé la candidate socialiste, un macaron tricolore à la boutonnière.

 

Autre première dans la campagne de Mme Royal : la Marseillaise a retenti à la fin du meeting de la candidate socialiste. Plusieurs personnalités du PS, François Hollande, Dominique Srauss-Kahn, Jean-Marc Ayrault et d'autres sont montés sur scène à ses côtés pour entendre l'hymne national.

16/03/2007

soutien de Jacques DELORS

"Avec Ségolène Royal, je partage des valeurs.
J'ai découvert trois joyaux dans sa campagne.
Elle a su dépasser les lignes. Elle a su se faire entendre des Français qui ont le sentiment d'être rejetés par la politique.
Elle défend des valeurs - l'autorité, la famille - auxquelles je suis très attaché. Et ces valeurs, elle a réussi à les faire émerger grâce à ses débats participatifs."

Jacques Delors

15/03/2007

La phrase du jour

"ce qui me choque, c'est qu'il y ait autant d'argent d'un côté, et autant de dégâts sociaux de l'autre"

 

journal "les échos" du 15/03/07 

 

09/03/2007

La phrase du jour

la phrase du jour:

"La femme est un animal politique comme un homme, dans un milieu brutal. Je revendique de faire de la politique autrement à l'abri de cette brutalité".


Ségolène Royal, meeting de dijon le 7/03/2007 pour la journée internationale des femmes