Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/05/2007

Royal veut une «France apaisée»

magnifique discours de Ségolène Royal devant 60 000 personnes au stade Charléty: S.Royal a prononcé un discours bien ciselé, profond et bien dit: nous ne sommes pas loin de la perfection...
 
A cinq jours du deuxième tour, la candidate socialiste a refusé «la victoire d'une partie de la France contre une autre» • Devant plusieurs dizaines de milliers de personnes réunies au stade Charléty, elle a assuré que «la France ne se laissera pas abuser par des choix qui, même parés des plumes de la rupture ou des ramages de la nouveauté, sont marqués du sceau de l'échec et de l'amnésie des bilans».

LIBERATION.FR : mardi 1 mai 2007: extraits
 
 A cinq jours du deuxième tour, Ségolène Royal a défendu son projet d'une France apaisée devant plusieurs dizaines de milliers de personnes réunies à Paris au stade Charléty pour un "concert de la fraternité".
 
Je suis avec vous, libre, droite, pour dimanche prochain faire gagner la France", a déclaré la candidate socialiste à la présidentielle sur une scène dressée au milieu de la pelouse.

"Je ne veux pas la victoire d'une partie de la France contre une autre. Ce que je veux, c'est la victoire de la France présidente", a assuré la première femme à avoir une vraie chance d'accéder à l'Elysée.

"Dans la France que je veux, il y a de la place pour tous et pour toutes'", a-t-elle lancé à la foule qui interrompait son discours par des cris "On va gagner" et "Ségolène présidente".

"Notre réunion est ce soir un formidable signe d'espoir. C'est, nous le sentons, un événement à la hauteur d'une victoire espérée", a-t-elle dit.

Dimanche prochain, "la France ne se laissera pas abuser par des choix qui, même parés des plumes de la rupture ou des ramages de la nouveauté, sont marqués du sceau de l'échec et de l'amnésie des bilans", a-t-elle déclaré, attaquant son adversaire de droite, Nicolas Sarkozy, sans le citer nommément.

"Votre présence exceptionnelle, enthousiaste, conquérante mais aussi tolérante et fraternelle me va droit au coeur. Merci pour ce bonheur!", a poursuivi Ségolène Royal.

"J'ai pris beaucoup de coups pendant cette campagne mais j'ai reçu aussi tellement, tellement, tellement de bonheur (...) Ce soir, tout le reste est oublié", a-t-elle ajouté.

"Nous voulons ensemble pour demain beaucoup de bonheur pour notre pays. Un pays apaisé, réconcilié avec lui-même pour vous avec vous et surtout pour celles et ceux qui en ont le moins", a-t-elle ajouté. "Ceux-là, je leur dis qu'il ne se découragent pas nous les prendrons aussi par la main".

 

30/04/2007

la phrase du jour

"La situation économique est aujourd'hui difficile, l'emploi est dégradé, la précarité s'est creusée et à la veille du 1er mai, je le redis, mon combat principal, c'est le combat pour le plein emploi, c'est le coeur du pacte présidentiel que je propose"

( Ségolène Royal, les 4 vérités 30 avril )

La Ligue des droits de l'homme appelle à voter pour Ségolène Royal




La Ligue des droits de l'Homme (LDH), réunie à Paris en comité central, a appelé samedi "à voter et faire voter, le 6 mai 2007, pour Ségolène Royal".

Dans un communiqué intitulé "Barrons la route à l'autoritarisme", la LDH a assuré n'intervenir "dans le débat électoral que si le bon fonctionnement de la démocratie, l'effectivité de la citoyenneté et le respect des principes de liberté, d'égalité et de fraternité sont en jeu".

(LEMONDE.FR  Mis à jour le 30.04.07)

24/04/2007

la phrase du jour

«Mobilisez-vous, c'est dans chaque rue, dans chaque quartier, dans chaque maison qu'il vous appartient de porter ce mouvement d'espérance, ce souffle d'avenir, cet esprit de réconciliation, cette France rassemblée.»

( Valence, le 23 avril ) 

19/04/2007

meeting à toulouse

19 avril : ouverture des portes à 17h

Ségolène Royal et José Luis Zapatero seront le 19 avril au Parc des Expositions de Toulouse.
Ouverture des portes à 17 h
Début du meeting à 18h 30
Intervention de Ségolène Royal vers 19h 30 

 

sa-gola-ne-royal-et-josa-luis-zapatero-chef-du-gouvernement-espagnol.jpg

 

après le meeting, Ségolène Royal sera invitée de "Question ouverte, Elysée 2007" à 20h30 sur France 2.

 

18/04/2007

Ségolène Royal, "confiante", appelle à "un vote d'audace" dimanche


© AFP
Ségolène Royal lors d'un meeting, le 16 avril 2007 à Nantes
Ségolène Royal lors d'un meeting, le 16 avril 2007 à NanteLa candidate socialiste Ségolène Royal se déclare "confiante", appelant les Français à "un vote d'audace" et "un vote utile, positif" dimanche au premier tour de l'élection présidentielle.

"Je suis confiante. J'appelle à un vote utile, positif. Pour que les Français disent : +c'est bien, on est content, on a une super présidente de la République qui va redonner de la fierté à la France, qui va régler les problèmes+", déclare Mme Royal dans un entretien à paraître dans le journal gratuit Métro de mercredi.

La candidate PS "demande aux Français un vote d'audace", ajoutant: "Moi, je suis une promesse d'audace sécurisée".

"Il y a encore 17 millions d'électeurs indécis. Ils sont en train de réfléchir. J'y vois la marque d'une exigence. Ce que je propose, c'est de réformer la France sans brutaliser, de réconcilier solidarités, responsabilité individuelle et efficacité économique", poursuit la candidate.

S'agissant de sa proposition de Contrat Première Chance, Mme Royal estime "qu'elle a été comprise" par les Français. "Je veux à la fois sécuriser le salarié et l'entreprise (...) On n'est pas du tout dans la logique du CPE qui permettait aux entreprises de licencier les jeunes sans justification".

A la question de savoir si elle a déjà "une idée" pour son futur Premier ministre, elle répond: "Oui bien sûr. Je veux que les Français sachent que je suis prête, que j'ai la meilleure équipe, et qu'elle gouvernera tout de suite".

"Mes premières mesures porteront sur la hausse des bas salaires et des petites retraites, le soutien scolaire gratuit dès la rentrée de septembre, le plan de lutte contre le chômage des jeunes, le plan contre le surendettement et les abus bancaires, la mise en place de la police de quartier", ajoute-t-elle.

Enfin, Mme Royal n'exclut pas d'habiter à l'Elysée. "Le seul critère, c'est l'intérêt de l'Etat. Lorsque ça sera nécessaire, j'y serai. Ce sont les contraintes de la fonction".

(afp 17/04) 

15/04/2007

Zapatero suit de près la campagne et se sent proche de Royal

La socialiste Ségolène Royal (g) serre la main du Premier ministre espagnol José Luis Rodriguez Zapatero, à Madrid, le 16 septembre 2006
La socialiste Ségolène Royal (g) serre la main du Premier ministre espagnol José Luis Rodriguez Zapatero, à Madrid, le 16 septembre 2006

José Luis Rodriguez Zapatero a affirmé suivre de près la campagne électorale en France et ressentir "une grande empathie" pour Ségolène Royal, tout en éprouvant du "respect" et de "l'admiration" pour Nicolas Sarkozy.

Le chef du gouvernement socialiste espagnol "ressent une grande empathie politique pour la candidate socialiste", a-t-il précisé dans un entretien par écrit, portant sur l'élection présidentielle française.

"J'aime son programme et je crois que sa prédisposition à se maintenir à l'écoute est exemplaire", a-t-il expliqué pour l'Agence France-Presse.

"Mais, en plus, il me semble décisif qu'une femme soit pour la première fois dans les conditions d'accéder à la présidence de la République française", a ajouté M. Zapatero à sept jours du premier tour de scrutin en France.

"C'est un pas en avant très important pour l'amélioration de la condition de la femme à travers le monde et cela apporte une image de rénovation qui peut être très importante pour la France et pour toute l'Europe", a estimé M. Zapatero.

Ce dernier, fervent militant de la parité hommes-femmes, vient de faire voter au Parlement espagnol une loi très volontariste pour réduire les inégalités dont souffrent les Espagnoles au travail.

M. Zapatero avoue suivre de très près la campagne électorale française et s'être "toujours intéressé de manière particulière à la politique française".

"Cette campagne, de mon point de vue, a des caractéristiques qui la rendent particulièrement attractive", a-t-il souligné.

"L'Europe a besoin de la France pour continuer à avancer dans son projet et il est logique que dans toute l'Union européenne, ce processus électoral suscite une grande attente à un moment particulièrement important pour le projet européen".(AFP 15/04)

S.ROYAL , Rocard et Kouchner

Les prises de position de Michel Rocard et de Bernard Kouchner agacent la candidate socialiste. De l'ancien premier ministre, elle disait dans le JDD qu'il avait "le mérite de la constance" : "depuis des années, il veut faire venir le centre, par des alliances de personnes, vers les socialistes".

Sur Radio J, elle a été beaucoup plus directe : "J'avoue qu'on ne m'aura pas épargné grand chose dans mon camp", a-t-elle déclaré dimanche.

Sans citer de noms, Ségolène Royal a affirmé qu'"un certain nombre de personnalités au sein du PS n'ont jamais accepté" sa désignation par les militants. "Cela ne m'aide pas. Mais je me dis de façon optimiste que c'est le prix de ma liberté et que finalement cela prouve que j'ai beaucoup de résistance, de constance", a-t-elle enfin estimé. (le monde 15/04)

 

 "Je crois moi à la force des idées qui entraînent et font se lever les espoirs populaires que je vois dans toute la France", souligne-t-elle.

"Au soir du premier tour, nul ne sera propriétaire de ses électeurs et ne pourra en disposer à sa guise. Et c'est avec toutes celles et tous ceux qui se reconnaîtront dans la France présidente que se relèvera le pays", estime Ségolène Royal.

L'UDF, poursuit-elle, "fait partie de la majorité, est présente au gouvernement et vote dans toutes les collectivités territoriales avec l'UMP, sans exception".

"François Bayrou est une personnalité respectable, mais il n'a ni programme, ni équipe", dit-elle. (libération 15/04)

 

13/04/2007

Ségolène Royal appelle au sursaut à gauche "et au-delà

 
par Laure Bretton

BELFORT (extrait)

"Il nous faut un sursaut! C'est à ce sursaut que je vous appelle aujourd'hui", a-t-elle lancé devant un grand drapeau tricolore portant la statue de la République en son centre. "Il faut éviter à la France une droite encore plus dure".

"VOTE UTILE" OU "VOTE CONSCIENT"

"Je vous demande de vous mobiliser pour que la France ait cette audace. Je vous demande de vous mobiliser pour que je puisse devenir la présidente de la France présidente"

"On voit s'accumuler les déclarations du candidat de l'UMP qui petit à petit révèle son vrai projet celui qu'il cache encore partiellement mais qui sera encore beaucoup plus dur pour les faibles et plus généreux pour les forts", a-t-elle estimé.

"Je n'ai même pas à en rajouter sur ce qui est dit et qui ne fait pas honneur au débat public (...) Je n'ai pas besoin d'inventer des concepts. Je n'ai pas besoin de citer Jaurès 27 fois comme il l'a fait hier pendant que son bras droit M. Hortefeux commence à négocier en douce avec le Front national", a-t-elle martelé.

Alors que les sondages font état d'une part importante d'électeurs indécis mais la donne toujours en deuxième position derrière le candidat de l'UMP, Ségolène Royal a sonné la mobilisation sans toutefois prononcer l'expression "vote utile".

 Lors d'une rencontre informelle avec la presse jeudi soir, elle a expliqué lui préférer la formule du "vote conscient" qui permet aux électeurs "d'anticiper ce qui peut se passer" avec tel ou tel bulletin de vote.

La candidate de gauche ne "veut pas donner le sentiment qu'on prive (les électeurs) de leur liberté de vote (...) Il n'y a pas de vote inutile", a-t-elle expliqué.

"Je le dis, dites-le autour de vous: 'Ne vous abstenez pas!' (...) C'est une page de l'Histoire de France qui va s'écrire. Tous ceux qui ont le droit de vote doivent venir voter (...) Venez voter en toute liberté mais venez voter!"

(le monde13/04) 

Ariane Mnouchkine soutient Ségolène Royal

Dépêchons-nous. Il y a du monde qui attend. Allons-y, bon sang ! Vite ! Cette femme, eh oui, cette femme porte nos couleurs, elle les porte vaillamment, courageusement, noblement. Et quand je dis couleurs, je ne parle pas des seules trois couleurs de notre drapeau. Je parle des couleurs de la France, celle que j'aime, celle de la citoyenneté vigilante, de la compassion pour les faibles, de la sévérité pour les puissants, de son amour intelligent de la jeunesse, de son hospitalité respectueuse et exigeante. Je parle des couleurs de l'Europe, à qui nous manquons et qui nous manque. Voilà pourquoi je vote pour les travaux d'Hercule, je vote pour Ségolène Royal, et je signe son pacte.
 
Ariane Mnouchkine commence aujourd'hui un blog sur liberation.fr :
( libération 11/04) 

12/04/2007

Ségolène et de Gaulle


NOUVELOBS.COM | 12.04.2007 
Le général de Gaulle – c’est une première dans l’histoire de l’élection présidentielle depuis 1958 – aura été totalement absent de la campagne en cours. C’est pourquoi je crois utile et même nécessaire, le temps et l’espace d’une chronique, de m’effacer au profit de la "Lettre ouverte à Ségolène Royal" que nous a adressée Jean-Marcel Jeanneney, le dernier ministre survivant, avec Pierre Messmer, du général de Gaulle.


"MADAME, je ne vous ai entendue et vue qu’à la télévision. Mais vos propos, votre manière d’être, ont fait que, depuis plusieurs mois déjà, j’étais enclin à voter pour vous le 22 avril. Ayant lu attentivement votre livre, "Maintenant", je ne doute plus de le faire.

Je suis un très vieux monsieur. Ministre du Général de Gaulle à trois reprises, je fus un des rares qui eurent l’honneur d’être reçu par lui à Colombey, après qu’il eut, en parfait démocrate, démissionné de la présidence de la République parce que désavoué lors du référendum qu’il avait décidé.

Je suis fidèle à sa mémoire. La France, au cours de sa longue histoire, n’a guère eu de chef d’Etat de cette envergure, parfaitement indépendant de toutes les puissances financières et de tous les dogmes politiques, ne se laissant intimider par quiconque, discernant ce qu’allait être l’évolution du monde et percevant ce qu’étaient les intérêts à long terme de son pays. Mais je n’ai jamais cru à la possibilité d’un gaullisme sans de Gaulle et je me suis vite désolidarisé de ses prétendus héritiers.

Cela dit – et sans vouloir vous écraser sous une telle référence en vous assimilant à cette très haute figure – j’ai le goût de vous dire que je constate d’assez nombreuses analogies entre ses idées et les vôtres, telles qu’elles apparaissent au long de vos trois centaines de pages. D’abord le volontarisme politique, puis l’attachement à la nation, à son passé et à son avenir, comme fondement nécessaire aux solidarités entre les individus vivant sur son sol ; la prise en compte des aspirations populaires mais sans soumission systématique à l’opinion ; l’idée, que de Gaulle énonça dès mars 1968 dans un discours à Lyon, que les activités régionales sont les ressorts de la puissance économique de demain ; encore, le fait que la France, dans un mode menaçant, ne doit pas renoncer à une puissance militaire forte.

Entre vous et lui, il est encore un trait commun : quand on lui exposait un problème de façon abstraite, il vous interrompait : "Alors ! Pratiquement, que proposez-vous ?" Or toujours vous proposez ou esquissez une solution concrète.

J’ajoute que vous rejoignez le général de Gaulle sur trois points, de grande importance. Le premier est la sobriété que vous voulez dans le comportement quotidien de la présidence de la République et du gouvernement. Le deuxième est le recours à l’article 11 de la Constitution, que vous devrez inévitablement utiliser pour modifier celle-ci, en particulier concernant le Sénat. Le troisième est que, comme lui, vous vous appuyez sur un parti, ce qui est indispensable, mais que, comme lui, vous êtes d’un tempérament assez fort pour pouvoir, quand besoin est, vous en affranchir.

Madame la candidate, je vous souhaite de tout cœur bonne chance et vous assure de la grande considération que j’ai pour votre culture gouvernementale, pour votre intelligence, votre sensibilité et votre caractère."

10/04/2007

Communiqué du Comité de campagne de Ségolène Royal


 
 
Les propos de Nicolas SARKOZY tendant à attribuer aux gènes la pédophilie et les tendances suicidaires des jeunes sont inacceptables. Bien entendu la pédophilie doit être poursuivie et condamnée et le suicide des jeunes doit faire l’objet d’un vaste plan de prévention, mais prétendre que les comportements sont prédéterminés c’est considérer que l’Éducation, la famille, la mixité ne jouent aucun rôle, pas plus que la liberté humaine. C’est aussi anéantir par avance toute responsabilité personnelle.

Le débat présidentiel oppose bien deux conceptions de l’être humain, deux modèles de société.

D’un côté, la tentation de l’obscurantisme, de l’autre la confiance dans la raison et le progrès. C’est le sens de notre combat pour la laïcité. D’un côté, une société où une place est assignée à chacun par une sorte de prédestination, de l‘autre une société où aucun combat n’est perdu d’avance, où chacun doit pouvoir construire librement son destin. C’est cette vision de l’Homme, c’est ce modèle de société qu’ensemble nous défendons.

09/04/2007

L'Europe soutient Ségolène Royal : plus juste l'Europe sera plus forte !

Message de cthiebaud l


A l'inititative du "Gruppo Donne DS" de Castel San Pietro Terme et Imola (Italie), voici une video d'interviews de soutien à Ségolène Royal de la part de femmes de gauche italiennes: plus juste, L'Europe sera plus forte!

vidéo ici

08/04/2007

Bruno Julliard à propos du contrat première chance.

Le contrat première chance est le meilleur moyen

pour permettre aux jeunes d'accéder à l'emploi.

 
 
Le président de l'Unef, syndicat étudiant leader de la contestation du CPE, Bruno Julliard, se dit "satisfait des clarifications" apportées par l'équipe de Ségolène Royal sur son "contrat première chance".

"On avait toutes les craintes sur ce contrat, qui pouvait être un nouveau contrat de travail, pouvait créer une période d'essai spécifique pour les jeunes ou se traduire par une sous-rémunération: sur l'ensemble de ces points, elle a clarifié ses positions".

"C'est un dispositif intéressant qui va permettre que des jeunes non qualifiés puissent accéder à un contrat de professionnalisation ou de qualification, c'est le meilleur moyen pour leur permettre d'accéder à l'emploi".

Dominique Meda, sociologue du travail à qui Ségolène Royal a commandé un rapport sur ce contrat à l'adresse des jeunes sans qualification, précise qu'il s'agira d'une "convention de parcours" conclue entre une région, une entreprise de 10 à 20 salariés et un jeune, rémunéré par la collectivité pendant un an..

06/04/2007

la phrase du jour

"A quelques jours du premier tour de la présidentielle du 22 avril prochain, je suis en dialogue direct avec les Français. Je le fais en femme libre. Je ne suis liée à aucun pouvoir économique, aucun pouvoir d'argent, à aucun groupe de pression. Je n'ai personne à placer, et je me situe, maintenant, au-dessus des partis politiques, même si j'ai l'appui de trois grands partis de gauche, mais je m'adresse aujourd'hui à l'ensemble des Français".

"Je suis forte de ce pacte présidentiel que je propose".

(i-télé: 5/04/07)

Ségolène Royal participe au débat "Ce que veulent les femmes".

 
 
 
"Le temps des femmes est venu et j'espère que les Français auront cette audace pour l'élection présidentielle", déclare Ségolène Royal au débat organisé à Sciences-Po Paris par le magazine Elle.

"Lorsque la cause des femmes progresse, c'est aussi la cause des hommes qui progresse, c'est la cause de la société tout entière qui progresse".

"Je n'ai jamais renoncé à ma féminité pour ressembler à un homme, je ne vois pas pourquoi il faudrait ressembler à un homme pour être prise au sérieux".

"Je ne me demande pas s'il faut être plus ou moins féministe, ressembler à ceci ou à cela, se déguiser comme ceci comme cela, je fais les choses comme j'ai envie de les faire, en toute liberté".

Invitée à préciser les trois premières mesures qu'elle prendra en faveur des femmes, Ségolène Royal rappelle qu'elle fera, sitôt élue, adopter par le Parlement une loi-cadre contre les violences faites aux femmes, notamment conjugales, en précisant que "les grandes lignes de ce texte sont déjà rédigées".

Elle mettra également en place "un service public de la petite enfance" pour les moins de trois ans avec les collectivités territoriales (crèches municipales, associatives, classes passerelles...) et rendra la scolarité obligatoire dès trois ans. "Dès la rentrée de septembre, les écoles maternelles ne pourront ainsi plus refuser les enfants de trois ans".

Par ailleurs, la candidate socialiste fera entrer au Panthéon les cendres de la révolutionnaire Olympe de Gouges, figure du féminisme et du combat contre l'esclavage et auteure de la déclaration des droits du citoyen et de la citoyenne en 1791, morte guillotinée en 1793.
 

04/04/2007

Meeting de Ségolène Royal et de José Luis Zapatero à Toulouse le 19 avril.

Meeting de Ségolène Royal et de José Luis Zapatero à Toulouse le 19 avril.

Ségolène Royal, a annoncé lors de son point presse au PS, qu'elle tiendra un meeting avec le chef du gouvernement espagnol, José Luis Zapatero, le 19 avril à Toulouse.

Les deux responsables socialistes évoqueront "le partage des valeurs socialistes qui sont les nôtres".

Deuxième sujet de la rencontre : "la question des énergies renouvelables" car "l'Espagne a beaucoup accéléré les choses" et "je souhaite que la France fasse de même".

"Nous aborderons la question d'Euro-Méditerranée, la question de la maîtrise des flux migratoires, la question de la culture, la question de la lutte contre le chômage des jeunes et celle de la lutte contre la violence faite aux femmes. L'Espagne a été exemplaire de ce point de vue là. »

01/04/2007

Jean-Louis BIANCO nous parle de Ségolène ROYAL

vidéo ici

31/03/2007

paroles de femmes

Geneviève Fraisse Philosophe et députée européenne

 

Son attitude m’a immédiatement évoqué la devise d’une féministe du xixe siècle : «Je prends mon droit.» Il y a encore énormément d’interdits implicites en démocratie par rapport aux femmes. Ségolène Royal a dû «s’autoriser d’elle-même», comme on dit en psychanalyse. Sa transgression pourrait ouvrir une ère nouvelle pour les Françaises.

 

28/03/2007

Christiane Taubira défend le Drapeau Français

Le drapeau français n'est pas un drapeau de la honte !!

Message de josetteburlet le Date à 26/03/07 01:25

Au journal télévisé, ce soir en martinique, une journaliste demandait à Mme Taubira ce qu'elle pensait du virage de Mme ROYAL à propos de l'identité nationale - là, il lui a gentiment été expliqué qu'il n'y avait pas de virage, et à la question que pensez-vous du drapeau que chacun pouvait avoir chez lui, Mme Taubira de répondre : " Et pourquoi pas, le drapeau français n'est pas le drapeau de la honte que je sache !!! ET VLAN

  

Pavoisons pour Ségolène !
Recommandé par des Influenceurs

 

sinon il y a çà en attendant:

http://www.dailymotion.com/video/x15ao4_christiane-taubir...