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31/03/2007

paroles de femmes

Geneviève Fraisse Philosophe et députée européenne

 

Son attitude m’a immédiatement évoqué la devise d’une féministe du xixe siècle : «Je prends mon droit.» Il y a encore énormément d’interdits implicites en démocratie par rapport aux femmes. Ségolène Royal a dû «s’autoriser d’elle-même», comme on dit en psychanalyse. Sa transgression pourrait ouvrir une ère nouvelle pour les Françaises.

 

30/03/2007

Ecologie Pratique

télécharger EcologiePratique.pdf

23:08 Publié dans Ecologie | Lien permanent | Commentaires (0)

Anna Politkovskaïa célébrée à titre posthume




Anna Politkovskaïa

Anna Politkovskaïa

(c) Reuters

Le Prix mondial de la liberté de la presse a été décerné, vendredi 30 mars, à titre posthume, à la journaliste russe Anna Politkovskaïa, assassinée le 7 octobre 2006 à Moscou.

L'Unesco, qui décerne ce prix, a rappelé dans un communiqué qu'"Anna Politkovskaïa a fait preuve d'un courage et d'une ténacité incroyables en continuant de couvrir les événements de Tchétchénie alors que le monde entier s'était désintéressé de ce conflit". La journaliste a en effet été tuée alors qu'elle enquêtait sur le conflit tchétchène.


"Son dévouement et sa quête téméraire de la vérité en font une référence pour le journalisme, tant en Russie que dans le reste du monde. De fait, le courage et l'engagement d'Anna étaient si admirables que nous avons décidé, pour la première fois, de décerner le Prix mondial de la liberté de la presse à titre posthume", ajoute l'organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture.


Le meurtre de la journaliste, survenu devant son immeuble moscovite, n'a pas encore été élucidé. De nombreux opposants au régime russe de Vladimir Poutine ainsi que des défenseurs des droits de l'Homme avaient réagi à cet assassinat en accusant le Kremlin.
En 2006, le Prix mondial de la liberté de la presse avait été attribué à la journaliste libanaise antisyrienne May Chidiac, gravement blessée dans un attentat.

( nouvel observateur) 

14:50 Publié dans Femmes | Lien permanent | Commentaires (0)

28/03/2007

Christiane Taubira défend le Drapeau Français

Le drapeau français n'est pas un drapeau de la honte !!

Message de josetteburlet le Date à 26/03/07 01:25

Au journal télévisé, ce soir en martinique, une journaliste demandait à Mme Taubira ce qu'elle pensait du virage de Mme ROYAL à propos de l'identité nationale - là, il lui a gentiment été expliqué qu'il n'y avait pas de virage, et à la question que pensez-vous du drapeau que chacun pouvait avoir chez lui, Mme Taubira de répondre : " Et pourquoi pas, le drapeau français n'est pas le drapeau de la honte que je sache !!! ET VLAN

  

Pavoisons pour Ségolène !
Recommandé par des Influenceurs

 

sinon il y a çà en attendant:

http://www.dailymotion.com/video/x15ao4_christiane-taubir...

 

 

Ségolène et l'Europe


 
 
  J-26
Point de campagne du 27 mars
 
  Transférez cette lettre à vos amis !
 

  Europe : la nouvelle Europe sociale
Culture : 10 propositions
Emploi : valoriser les jeunes diplômés
Intégration : scolarisation des enfants
Tract : Avec vous, le changement. Le vrai.

    Ségolène Royal s'est dite "prête à prendre le risque d'un nouveau référendum sur les institutions européennes"
    Ségolène Royal : discours sur l'Europe  
 
Europe : Un avenir social commun

À l'occasion du 50ème anniversaire des Traités de Rome le PSE et le Parti socialiste ont organisé une rencontre au cours de laquelle Jacques Delors, ancien président de la commission européenne et Poul Nyrup Rasmussen, président du PSE ont présenté le Rapport du PSE "Pour une Nouvelle Europe sociale", ainsi qu'une synthèse de celui-ci, sous la forme de 10 principes "pour un avenir commun". Lors de cette réunion, François Hollande et Ségolène Royal sont intervenus sur l'importance du projet européen. La candidate s'est dite "prête à prendre le risque d'un nouveau référendum sur les institutions européennes".
Lire la suite
Télécharger en PDF  "Pour une nouvelle Europe sociale : dix principes pour un avenir commun"
Télécharger le rapport dans son intégralité 
Voir les discours de Ségolène Royal, Jacques DelorsFrançois Hollande
Voir les réactions des élus européens suite à cette rencontre
- Lire l'entretien avec Poul Nyrup Rasmussen

Jean-Louis Bianco : "L'Europe ce n'est pas la France en grand"
Lors du point presse quotidien de campagne, Jean-Louis Bianco est revenu  sur les 50 ans des traités de Rome et a insisté sur la volonté de Ségolène Royal de construire une Europe par la preuve. Le co-directeur de campagne de Ségolène Royal a aussi abordé l'affaire de la rue Rampal évoquant la proposition de la candidate de régulariser par un examen individuel sur la base de critères objectifs les étrangers. Voir la vidéo

Arguments/Ripostes : n°48 : L'Europe
Télécharger la note

n°47 : Parlons des peuples d'Europe
Télécharger la note  


Culture : les 10 propositions de Ségolène Royal
A Nantes, le 26 mars, la candidate a, lors d'une réunion publique, décliné ses "10 propositions pour la culture".
Lire les 10 propositions
Voir le discours de Ségolène Royal à Nantes

Emploi : "Je vais alléger la totalité des salaires et des charges sociales sur les jeunes diplômés."
Ségolène Royal invitée de Christophe Barbier sur LCI.
Lire le résumé de l'entretien 
Voir la vidéo

Intégration : Jean-Louis Bianco : "Ségolène Royal estime que les enfants actuellement scolarisés en France doivent pouvoir y accomplir leur scolarité."
Lire le communiqué de Jean-Louis Bianco

Vidéo : Captures d'écrans
5 minutes indispensables des dernières 24h de la campagne dans les médias.
Voir les captures d'écrans du 26 mars
Abonnez-vous aux Captures d'écrans

Le Pacte présidentiel en vidéo : la réussite éducative et culturelle
Voir la vidéo

"Je vote Ségolène Royal" : Pierre Bergé
Pierre Bergé a mis en place il y quelques mois l’association des Amis de Ségolène Royal. Il explique qu’il faut se battre "pour que petit à petit plus personne ne se pose  de question et qu’il n’y ait qu’une candidate possible : Ségolène Royal." Voir la vidéo
 
Matériel militant : Tract : Avec vous, le changement. Le vrai. L'ordre juste et le désir d'avenir.
"Je veux que cette élection présidentielle soit utile. Nous avons connu trop de promesses et d'occasions manquées."
Télécharger le tract en PDF

Agenda :

28 mars :

Ségolène Royal sur "Canal +" à 12h30 dans "en aparté"
François Hollande participe à une réunion publique au Mans

29 mars :
Jean Glavany à 18h20, sur Europe 1
Meeting national à Limoges avec Ségolène Royal et François Hollande

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10:00 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0)

Ségolène Royal se voit comme "la vraie candidate de l'écologie"


  Ségolène Royal s'est présentée mardi soir comme "la vraie candidate de l'écologie", assurant être la seule à intégrer l'environnement à tous les étages de son projet présidentiel, au terme d'une rencontre avec sept associations de défense de l'environnement et le père du "pacte écologique" Nicolas Hulot.

"Je leur ai dit en partant: la vraie candidate de l'écologie, c'est celle qui est devant vous", a fait valoir la candidate socialiste au terme de cette rencontre d'une heure avec Nicolas Hulot et sept ONG dont Greenpeace, WWF France, les Amis de la Terre et France Nature Environnement, au siège de la Fondation Hulot à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine).

Interrogée sur la candidate des Verts Dominique Voynet, Ségolène Royal a répondu être la seule à intégrer la dimension environnementale à tous les étages de son projet. "Dans tous les éléments du pacte présidentiel, il y a toujours le pilier environnemental", a-t-elle dit.

"Il y a eu pas mal de points de convergence", a reconnu Nicolas Hulot, "c'était une très bonne réunion de travail". "La campagne présidentielle est un instant providentiel pour se poser les bonnes questions et tenter de commencer à faire émerger des éléments de réponse", a estimé l'auteur du "pacte écologique", sans toutefois se prononcer sur un éventuel soutien.

Ségolène Royal a par ailleurs renouvelé son "engagement" de "reconnaître les associations environnementales comme partenaires du service public à part entière". "C'est la mise en place de la démocratie participative dans le domaine de l'environnement", a-t-elle dit.

La semaine dernière, devant la presse, elle avait déjà estimé qu'on "ne peut pas mettre tous les candidats dans la même situation", en comparant son bilan avec ceux de Nicolas Sarkozy et François Bayrou sur l'environnement. "Il faut aussi que les électeurs jugent les candidats sur leurs actes". "J'assume totalement l'exigence écologique", "j'ai fait mes preuves" au ministère de l'Environnement et "je fais mes preuves en Poitou-Charentes", avait-elle dit.

Or, Nicolas Sarkozy "n'a pas fait grand-chose dans son département" des Hauts-de-Seine et "il n'y a pas une seule action environnementale dont (François Bayrou) peut se prévaloir", avait-elle souligné. AP

 

27/03/2007

Ségolène comme vous ne l'avez jamais vue!

http://www.dailymotion.com/video/x1jnze_segolene-royal-a-...

 

un grand moment de convivialité.

 quelle chance! 

Ségolène Royal veut "retrouver le souffle culturel du 10 mai 1981"


"C'est possible, c'est une des missions indispensables de la France qui a reculé dans sa culture"
"Les artistes sont ingérables"
 
"Je veillerai à ce que l'Etat donne à la culture les moyens de créer et de diffuser sur tout le territoire" car "si les replis (sur soi) continuent, ce sera très difficile de remonter la pente", a-t-elle assuré.

"Les artistes sont ingérables, ils peuvent être dangereux, ils sont dérangeants", a déclaré Jeanne Moreau, venue avec une quarantaine d'artistes dont les musiciens du groupe sénégalais Touré Kunda, le violoniste Didier Lockwood, les écrivains Erik Orsenna et Philippe Besson, la chanteuse Juliette ou le directeur du cabaret Les trois maillets Jacques Boni.
"Aujourd'hui, certains sont vachement dérangés qu'une femme puisse être présidente de la République", a-t-elle ajouté sous les applaudissements du public.
 
Répression policière
 
Le directeur d'une scène rock de Nantes, Eric Boistard, a vivement dénoncé la "répression policière contre les musiques, les procès de Sarkozy contre les rappeurs, les commissions rogatoires contre des festivals ou les musiques du monde touchées par le refus de visas".
"Une femme présidente, ce serait révolutionnaire, et la culture et l'esprit de révolution, cela va bien ensemble", a déclaré l'écrivain Philippe Besson tandis qu'Erik Orsenna plaidait pour les langues régionales.
Les Touré Kunda ont fait chanter la salle en langue wolof après avoir lancé un vibrant appel à voter Ségolène Royal. "Il ne faut pas que les jeunes qui ont l'âge de nos fils se trompent de choix", lançait un des deux musiciens.

 Dix propositions
 
Citant Victor Hugo, Sartre, Samuel Beckett mais aussi Ariane Mnouchkine, Ségolène Royal a appelé tous les participants à se retrouver en première ligne pour "ce combat majeur" en faveur de la culture.
"La culture est exceptionnelle, elle tient du miracle dans un monde obnubilé par la course à la rentabilité immédiate", a-t-elle insisté avant de décliner les dix propositions de son pacte présidentiel en matière culturelle.
Elle a notamment développé longuement le réintroduction de l'histoire des arts à l'école et rendu hommage aux intermittents du spectacle: "je veux que vous retrouviez votre dignité", leur a-t-elle lancé. (AFP)
(nouvel observateur, 27 mars) 
 

Ségolène Royal accuse la police de "rafler" des sans-papiers devant les écoles

Ségolène Royal accuse la police de "rafler" des sans-papiers devant les écoles

 
Ségolène Royal a salué mardi "le courage des parents, des enseignants" d'une école parisienne qui se sont opposés la semaine dernière aux forces de l'ordre, qu'elle a accusées de "rafler des parents ou des grands-parents devant les écoles".

"Je voudrais saluer le courage des parents, des enseignants, qui se sont dressés contre cette façon de faire qui ne fait pas honneur à la France", a déclaré la candidate socialiste sur LCI. "C'est vrai qu'aller rafler des parents ou des grands-parents devant les écoles, devant les yeux des enfants, ce n'est pas à ça que la France veut ressembler. En tout cas, ça ne sera pas ma façon de faire".

A propos des régularisations de parents sans-papiers d'enfants scolarisés, Ségolène Royal a réaffirmé qu'"il faudra des critères objectifs, il faudra bien sûr, aussi du cas par cas". "Mais surtout", a-t-elle souligné, "les enfants qui sont scolarisés depuis plusieurs années dans l'école de la République devront être tranquilles pour réussir leurs études". AP

( nouvel observateur 27 mars) 

26/03/2007

la cause des femmes


Marie Bellanger, responsable du 3919, le nouveau service d'écoute des violences conjugales.
Femmes battues : «La France est arriérée»
Par Charlotte ROTMAN 
 
Ils ont défilé derrière une banderole blanche tachée de lettres rouges : «Le machisme tue tous les jours, le féminisme n'a jamais tué personne». Quelque 2 000 personnes, dont José Bové, ont manifesté samedi après-midi à Paris sous la pluie pour exiger une loi-cadre contre les violences faites aux femmes et un ministère d'Etat pour la parité hommes-femmes. Le service d'écoute des violences conjugales, le 3919, ouvert le 14 mars, a reçu près de 10 000 appels en dix jours. Entretien avec sa responsable, Marie Bellanger.
Depuis son ouverture, le 3919 connaît un rush. C'est une surprise ? 
Nous avons cinq à six fois plus d'appels que d'habitude. Environ 980 appels par jour. Si la demande continue comme ça, cela fera 62 400 appels en un an ! On s'attendait seulement à un doublement. Il y a peu d'appels parasites. Cela correspond bien à un vrai besoin. Plus de 70 % des appels proviennent directement de victimes. C'est énorme. Elles ont besoin de parler, d'être écoutées et d'avoir des informations. 45 % des appels qu'on reçoit sont très anxiogènes. Ce sont des petites voix à peine audibles. Ce matin, une femme a eu des sanglots pendant quarante-cinq minutes. Il faut désamorcer avant de pouvoir discuter normalement. La campagne nationale à la télévision touche des personnes très isolées, y compris à mobilité réduite.
Que racontent-elles ? 
Elles font part, plus qu'avant, de violences psychologiques. Les hommes savent que c'est interdit de faire des bleus, alors ils ne laissent pas de traces. Ils leur tapent sur la tête, les réveillent, les privent de nourriture, leur coupent le téléphone, retirent les chéquiers : la liste est longue quand on veut faire du tort à quelqu'un sans le toucher. C'est une ambiance qui s'installe depuis quelques années et qui les place dans une position d'humiliation. Elles ne le voient pas forcément. Elles ont envie d'être à la hauteur, que leur couple tienne à cause des enfants, à cause de l'entourage, de la maison. Si elles échouent, elles se sentent culpabilisées. Elles ont peur des représailles. On les accompagne pour qu'elles retrouvent leur confiance et l'estime de soi.
Qu'attendent-elles de vous ? 
30 % des femmes déclarent avoir porté plainte ou fait une main courante. C'est plutôt courageux, parce que, après, elles retournent vivre avec leur conjoint. Les femmes comme les hommes sont plus informés. Beaucoup de femmes sont en colère parce que les plaintes sont classées sans suite. Elles disent : «Vous mettez en place ce numéro d'appel, mais après ?» Elles attendent une prise en charge plus importante. On leur dit que c'est un début. Que cela sert à mesurer l'ampleur du phénomène. C'est le premier maillon de la chaîne. Cela servira à faire remonter les besoins auprès des autorités. Mais c'est vrai qu'après leur appel, si elles ont besoin d'être hébergées, on les renvoie vers le 115 [numéro d'urgence sociale, ndlr] . Alors qu'on sait que le système est saturé, que les centres d'hébergement ne peuvent accueillir les femmes qui en ont besoin. Tout cela est également lié à la problématique du logement.
Que faire ? 
La loi existe. Par exemple, elle prévoit l'éviction du mari, mais il faut un dispositif pour prendre en charge le conjoint et pour être sûr qu'il ne revienne pas. Ce ne sont pas des hommes qui vont bien. C'est de la responsabilité de l'Etat, or, là, pratiquement tout repose sur le secteur associatif. Le 3919 va faire voir les manques en termes d'hébergement, de dispositif médical, judiciaire. La France est assez arriérée. C'est pourquoi nous avons manifesté pour une loi-cadre, comme en Espagne. Il faut former les avocats, les policiers, les médecins, harmoniser les différents tribunaux, donner des moyens aux associations, créer des structures d'hébergement... Ce sont des choix politiques.
Ségolène Royal a dit que l'une de ses priorités serait de faire une loi sur les violences faites aux femmes... 
Elle est plus sensibilisée que les autres. Elle s'est engagée. On ne la laissera pas ne rien faire.
( libération, 26 mars 2007) 

14:38 Publié dans Femmes | Lien permanent | Commentaires (0)

pollution atmosphérique

Dimanche 25 mars 2007

Pollution par des poussières en suspension dans le Nord-Pas-de-Calais

LILLE (AFP), 13:23
© AFP
Vue de Paris sous la pollution, le 1er février 2006
Vue de Paris sous la pollution, le 1er février 2006
 

"La concentration de poussières en suspension dans l'air dépassait dimanche dans le Nord-Pas-de-Calais le niveau d'information et de recommandation de 80 microgrammes par m3, a annoncé l'organisme de surveillance de l'air Atmo Nord-Pas-de-Calais."

 

Voilà le genre d'annonce que l'on lira de plus en plus souvent.

 Dans la région midi-pyrénées, l'ORAMIP tient informer de la qualité de l'air et peut vous envoyer son bulletin tous les jours:contact@oramip.org

 on peut se rendre compte ainsi que la qualité de l'air à Tarbes est souvent moins bonne que dans le reste de midi-pyrénées: il est donc urgent que les politiques réagissent...

 

 

10:15 Publié dans Ecologie | Lien permanent | Commentaires (0)

L'eau sera-t-elle potable pour tous ?

 

 Chaque minute, 15 personnes meurent dans le monde faute d'avoir accès à une eau saine. Plus de 1 milliard de personnes en sont privées, et, selon les Nations unies, ce chiffre pourrait tripler d'ici vingt ans si rien n'est fait

Dans ses projets pour le millénaire, l'organisation internationale s'est fixé comme objectif, d'ici à 2015, de "réduire de moitié la proportion des personnes n'ayant pas accès à une eau potable". Mais, depuis cette annonce, faite il y a six ans, pas grand-chose ne semble s'être passé, selon le rapport 2006 sur le développement humain édité par cette même institution

Pourtant, en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud, des solutions innovantes sont expérimentées afin de traiter l'eau des populations rurales, trop éloignées des réseaux des grandes villes. Des prototypes qui, faute de relais financiers, peinent désormais à passer l'étape d'une production à grande échelle

 1,1 milliard de personnes n'ont pas accès à des ressources suffisantes en eau potable et 2,6 milliards à un service d'assainissement de base

1,6 million de vies pourraient être sauvées chaque année si étaient améliorées les conditions d'accès à l'eau potable, les services d'assainissement et l'hygiène, selon les Nations unies

Sur les cent dernières années, la population mondiale a triplé, alors que la consommation d'eau destinée à l'utilisation humaine a été multipliée par six

La moyenne mondiale de consommation d'eau est de 600 m3 par habitant et par an, dont 50 m3 d'eau potable. La consommation quotidienne en eau à usage domestique s'élève à 600 litres par habitant en Amérique du Nord et au Japon, entre 250 et 350 litres en Europe, entre 50 et 100 litres en Asie et en Amérique du Sud, et entre 10 et 40 litres en Afrique.

 

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3244,36-887483,

0.html

(le monde du 24 mars 2007) 

09:25 Publié dans Ecologie | Lien permanent | Commentaires (0)

25/03/2007

Royal reproche à Bayrou de contourner l'ISF

 Royal reproche à Bayrou de contourner l'ISF

Ségolène Royal a accusé sans le nommer François Bayrou d'avoir échappé au paiement de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) au motif qu'il ferait partie "des exploitants agricoles". S'adressant vendredi à quelque 400 personnes rassemblées sur la place du village provençal de Correns, la candidate socialiste a répété une formule maintes fois utilisée : "Remettre un peu d'ordre juste". 

à lire sur tf1.lci.fr ici:  

24/03/2007

Royal devant le Parlement des quartiers populaires

 

Royal devant le Parlement des quartiers populaires

lefigaro.fr (Avec AP et AFP). Publié le 24 mars 2007

La candidate socialiste a refusé de faire des banlieues une priorité de sa campagne. "Mon pacte présidentiel ne contient pas de chapitre sur les quartiers populaires parce que tous les objectifs du pacte concernent tous les quartiers de France, tous les Français, d'où qu'ils viennent", a précisé Ségolène Royal, invitée samedi à Villeurbanne par l'association Agir pour la citoyenneté (APC) lors du 9e Parlement des quartiers populaires. ''Je ne porte pas de regard misérabiliste sur les quartiers. Vous n'êtes pas un problème, vous êtes une grande partie de la solution'', a-t-elle redit à une foule acquise à sa cause. Paraphrasant Coluche, elle a regretté que "certains (soient) plus égaux que d'autres". "Mais c'est le rôle de la République d'assurer l'égalité entre tous", a-t-elle souligné. Son discours n’a en revanche pas totalement convaincu Karim Zéribi, président de l’association : "Je me réjouis qu'elle ne traite pas les quartiers populaires à part, mais elle peut être plus offensive, notamment sur l'emploi, l'éducation, la formation ou les transports", a-t-il estimé. Il l’avait en effet invité à s’exprimer en lui lançant : "Ségolène: ne nous décevez pas !". Il a refusé de donner un mot d’ordre pour un éventuel soutien à la candidate du PS. "Entre les deux tours de l'élection présidentielle, il y aura un nouveau Parlement des quartiers populaires à Marseille. Ce sera l'occasion d'étudier le programme des deux finalistes, et on n'est pas sûr à ce jour que Mme Royal en fera partie", a déclaré le président d’Agir pour la citoyenneté 

 

Sarkozy, cible favorite de Royal dans "Maintenant"

AP | 24.03.2007 |

  De sa "boulimie" de pouvoir à sa "provocation langagière", en passant par son "échec" sur la sécurité, tout chez Nicolas Sarkozy irrite Ségolène Royal, qui fait du candidat de l'UMP son premier adversaire et des critiques sur son bilan et propositions un fil rouge de son livre d'entretiens "Maintenant", à paraître mardi. 

 

 Florilège:

- cumul: "il est scandaleux que celui qui est candidat soit aussi le ministre de l'Intérieur chargé d'organiser les élections et reste aussi longtemps à ce poste. On connaît les raisons de ce mélange des genres: les pressions, les moyens, les subventions aux collectivités locales, le budget colossal des sondages, les renseignements généraux", accuse-t-elle. "Je trouve cette boulimie et cette volonté de tout contrôler inquiétantes pour la France".

- double peine: "M. Sarkozy a prétendu, en 2003, avoir aboli la double peine. Ce n'est pas exact". Lors de la crise des banlieues, "le ministre de l'Intérieur a réclamé à grand bruit l'expulsion de jeunes arrêtés par la police et déférés à la justice, autrement dit l'application de la double peine à des jeunes... Français pour la plupart!", souligne-t-elle.

- GDF: elle "s'interroge sur la valeur de la parole du candidat de l'UMP qui était venu solennellement promettre au Parlement, au nom du gouvernement, que jamais la participation de l'Etat ne descendrait au-dessous de 70%".

- immigration: la phrase "la France, on l'aime ou on la quitte" prononcée par Nicolas Sarkozy en 2006 "a été introduite en France par M. Le Pen. Cela se passe de commentaires". Quant aux textes sur l'immigration qu'il a fait voter, "la France n'a pas besoin de lois d'affichage qui fragilisent inutilement des familles et créent des situations humaines inextricables".

- programme: le candidat UMP propose "la suppression du droit de grève et un contrat unique précaire", "le chômage de masse, la course aux heures supplémentaires et la retraite à 70 ans". "Son contrat unique, c'est le CPE pour tous les salariés".

- racaille: "la République du respect passe aussi par les mots", tance-t-elle, déplorant une "provocation langagière".

- scooter: "l'histoire du scooter du fils de M. Sarkozy m'a vraiment énervée". "Pour mon fils, l'enquête était complètement normale puisqu'il y avait coups et blessures", assure-t-elle. "J'imagine que, pour lui, dans une campagne, tout est permis".

- sécurité: "l'échec de la droite en matière de sécurité et de protection des personnes est patent".

- violences conjugales: elle se dit "très choquée qu'abordant la question des violences faites aux femmes, le candidat de l'UMP ne cite comme exemples que les mariages forcés, l'excision, la polygamie et le port imposé du voile". AP

 

23/03/2007

Ségolène Royal à Marseille

Le message universel de la France à travers le monde est plus que jamais d’actualité : la liberté, l’égalité et la fraternité.

 

Ségolène Royal était en meeting à Marseille, jeudi soir, devant quelque 8.000 personnes. Plusieurs personnalités régionales étaient présentes : Michel Vauzelle, président du Conseil régional, Jean-Noël Guérini, président du Conseil général, son directeur de campagne Jean-Louis Bianco mais aussi Edmonde Charles-Roux, la veuve de Gaston Defferre.

"Dans le débat national qui est aujourd’hui dans la dernière ligne droite, c’est un moment historique important, ce soir, fortement symbolique, puisque jour pour jour, du 22 mars au 22 avril, la France va choisir son destin.

Je voudrais d’abord vous dire que je ne veux pas que le 22 avril ressemble au 21 avril. Et pourtant, j’ai senti, pendant ces longues semaines, ces longs mois, de débats participatifs, j’ai senti gronder la colère des Français, j’ai senti que le doute à l’égard de la politique ne s’était pas apaisé. J’ai senti qu’il y avait encore des millions de citoyens qui pensaient ne compter pour rien, qui ne savent pas de quoi demain sera fait, qui s’imaginent encore que la politique n’est qu’une suite de promesses non tenues.

Et c’est pourquoi cette dernière étape est si importante. Et c’est pourquoi ce soir, je veux vous parler avec gravité, parce que vous avez une responsabilité éminente : c’est vous, dans cette salle, vous qui êtes convaincus que la France ne doit pas se tromper dans quelques semaines, c’est vous qui avez la responsabilité d’aller convaincre toutes celles et tous ceux qui attendent désespérément quelque chose qui ne vient pas, toutes celles et tous ceux qui ont désespérément aussi envie de croire à nouveau dans l’efficacité de la politique.

C’est pourquoi, dans cette dernière ligne droite, ce qui est important maintenant, c’est que les choix soient clairs.

 lire la suite ici

 Ségolène Royal - Discours du Dome de Marseille - kewego


Ségolène Royal : discours du meeting de Marseille
Le 22 mars 2007

Video de segolene-tv

un livre sur les pesticides

lire la critique sur le canard enchainé

 

Le Canard Enchainé du 22 mars 2007 a cloué le bec au lobby pro pesticide qui s’attaque de manière dissimulée à  traverss de sites "noirs" aux ONG et aux auteurs de « Pesticides, Révélations sur un scandale français ».

Une attaque pas très net(te)

HUIT jours à peine après sa sortie, le solide livre-enquête sur les pesticides de Nicolino et Veillerette a été pris pour cible sur Internet. Le message, signé par un certain « Legac », a été semé en une matinée sur une dizaine de sites écolos : « Pour en savoir plus sur le Livre "Pesticides, révélations sur un scandale français", rendez-vous sur www.alerte-environnement.org. » Et là, le livre est passé à tabac sur le thème : « quand deux militants écolos s'adonnent à la théorie du complot ». Chaque auteur a droit à une fiche de plusieurs pages,intitulée pour François Veillerette : « Un Monsieur Antipesticides pas très crédible », et pour Fabrice Nicolino : « Sur les traces de Thierry Meyssan ». On voit l'idée : ces deux auteurs sont des fous furieux. On y trouve même, suprême élégance, des échanges plutôt vifs qui ont été piqués sur la liste interne de discussion de l'association de Veillerette... Alerte Environnement se présente comme « un véritable média alternatif » créé par une « journaliste indépendante entourée d'agriculteurs de terrain », Gwen Le Gac. Interrogée par « Le Canard », celle-ci parle d'une initiative strictement personnelle « avec des amis agriculteurs » dont elle refuse de donner les noms. Problème : Gwen Le Gac n'a pas de carte de presse et elle œuvre dans la com'. Notamment pour l'agence Regard International, qui s'occupait en janvier dernier du secrétariat général du colloque « L'agriculture a-t-elle encore un avenir ? » sponsorisé entre autres par Basf et Monsanto... « Mais pour des missions qui, assure-t-elle, n'ont rien à voir avec le secteur agricole. »
La plupart des attaques toxiques contre Veillerette et Nicolino se retrouvent carrément en « copier-coller » sur un site animé par Gil Rivière-Wekstein, qui se présente comme un « journaliste agricole », et a participé à la création d'une société d'intelligence économique qui a pondu en 1999 une « Etude sur nature des mouvements écologistes et leurs véritables objectifs ». C'est dit : le lobby des pesticides a décidé d'attaquer ce bouquin au défoliant !

 

09:05 Publié dans Ecologie | Lien permanent | Commentaires (1)

la chine

Asie-Pacifique

 

Des affrontements entre villageois chinois et ouvriers font un mort et 10 blessés, selon une radio américaine

AP | 23.03.2007 | 05:42

 

 

Des affrontements violents entre des villageois et des ouvriers du bâtiment sur une petite île du sud de la Chine ont fait un mort et 10 blessés, a rapporté une radio américaine vendredi.

Ces violences interviennent alors que la colère monte dans la région suite à des expropriations de terres cultivées pour un projet de construction immobilier. Les affrontements se sont produits jeudi alors que des dizaines de villageois se sont rassemblés sur le site de construction sur l'île de Guanzhou, aux abords de la ville de Guangzhou, pour exiger des réparations après qu'un habitant eut été renversé par un camion près du site, a rapporté Radio Free Asia.

Selon cette radio, les violences ont été attisées par la récente saisie de quelque 130 hectares de terres par les autorités, pour laquelle les villageois s'estiment insuffisamment compensés.

Toujours selon la radio, un homme a été battu à mort lorsque 30 à 40 ouvriers ont attaqué la foule avec des barres de fer pour tenter de la disperser.

Il s'agissait du dernier épisode d'une série de confrontations violentes entre autorités et citoyens en Chine, la plupart pour des raisons de corruption, de fracture entre riches et pauvres et de tentatives d'expropriations de terres. AP

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22/03/2007

les gracques soutiennent Bayrou

dans Le Point daté du 22 mars, plusieurs hauts fonctionnaires de gauche déclarent, dans une tribune titrée "Merci François" et signée du pseudonyme collectif des Gracques, vouloir "jeter des passerelles pour que demain un rapprochement soit possible entre Ségolène Royal et François Bayrou".

Parmi ces militants socialistes de longue date, de sensibilité delorienne et strauss-kahnienne, figurent notamment, selon nos informations, Jean-Pierre Jouyet, ancien directeur adjoint du cabinet de Lionel Jospin à Matignon ; Denis Olivennes, PDG de la FNAC ; Bernard Spitz, maître des requêtes au Conseil d'Etat ; Matthieu Pigasse, ancien directeur adjoint du cabinet de Laurent Fabius à Bercy, actuellement associé gérant à la banque Lazard ; Guillaume Hannezo, ancien membre du cabinet de Pierre Bérégovoy au ministère de l'économie et conseiller économique de François Mitterrand à l'Elysée, qui a été également directeur adjoint de Vivendi Universal ; et Ariane Obolensky, ancienne conseillère au cabinet de Michel Rocard à Matignon et membre du Comité des établissements de crédit et entreprises d'investissement (Cecei). Ils plaident pour "une alliance voulue entre partenaires".

paroles de femmes

Madeleine Chapsal Ecrivain
Ségolène évoque Jeanne d’Arc, sainte Geneviève, les héroïnes salvatrices qui ont su mettre en fuite les « dragons » (ce qu’elle a commencé dans son propre parti…). Image d’une féminité acceptée et fièrement revendiquée : du coup, les autres candidats apparaissent comme machos, vieux, usés.