01/10/2007
pétition pour la Birmanie
Nous n'avons que les pétitions pour faire quelque chose ou peut-être envoyer des mails et saturer l'adresse de l'ambassade de Birmanie en France ou carrément la Birmanie.
http://www.fidh.org/petition/birmanie/
Il y a même une pétition UMP ! http://www.u-m-p.org/petitions/birmanie-07-09-27/
22:35 Publié dans Monde | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Conditions très dures
Tony Banbury, directeur pour l'Asie du Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies, a dit que l'ONU avait reçu confirmation de la détention d'un millier de personnes sur le campus de cet institut technologique, dans des locaux qu'il a présentés comme des baraquements militaires.
"Selon certaines informations ces personnes - qui seraient un millier, dont des moines, des étudiants... - ont été déplacées vers un autre site", a-t-il déclaré.
"Bien entendu, les agences de l'ONU s'inquiètent du sort de ces personnes, des conditions dans lesquelles elles sont détenues, par exemple de savoir si elles ont accès à la Croix-Rouge", a-t-il ajouté.
"Les Nations unies en Birmanie ont reçu des informations selon lesquelles les conditions dans cet institut technologique gouvernemental étaient très dures pour les détenus, sans toilettes", a poursuivi Tony Banbury.
Écrit par : jusqu'à 1700 arrestations | 02/10/2007
Juste avant l'aube, mercredi 3 octobre, les militaires ont procédé à de nouvelles arrestations à Rangoun. Selon plusieurs témoins, au moins huit camions où s'entassaient des prisonniers ont quitté la ville pour une destination inconnue. On ne connaît pas non plus le nombre de manifestants arrêtés depuis le début des protestations en faveur de la démocratie. Mais selon Paulo Sergio Pinheiro, rapporteur spécial de l'ONU sur les droits de l'homme pour la Birmanie, ils seraient "des milliers".
Écrit par : info du 3/10 | 03/10/2007
Des militaires birmans circulant dans des véhicules équipés de haut-parleur prévenaient mercredi les habitants de Rangoun de ne pas s'opposer aux interpellations en cours de personnes ayant participé la semaine dernière aux manifestations anti-junte, en précisant disposer de "photos" des protestataires, ont indiqué des témoins.
"Vous devez rester chez vous. Ne sortez pas. Nous avons les photos des personnes que nous recherchons. Nous allons les arrêter", disaient les soldats dans les rues de la plus grande ville de Birmanie.
"Je ne peux plus dormir la nuit chez moi. Je me cache ailleurs et je change d'endroit", a expliqué un des ex-manifestants, menacés d'être interpellé comme l'ont été des centaines voire des milliers d'autres.
Selon un diplomate occidental, les forces de sécurité birmanes, qui ont été vues à de nombreuses reprises en train de filmer les manifestants, ont laissé ceux-ci s'exposer, pour mieux connaître leur identité et leurs réseaux.
"Le scénario est toujours le même, on laisse la rue aux manifestants au début, puis on intervient par la force, une fois que tout le monde est bien identifié", avait expliqué ce diplomate.
Écrit par : arrestations | 03/10/2007
et maintenant ils torturent
que pouvons-nous faire?
que peuvent-ils faire?
http://www.liberation.fr/actualite/monde/282776.FR.php
Écrit par : pyénéa | 05/10/2007
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